Après le but de Piccinini en fin de première mi-temps, Bisseck a égalisé à la fin. Un poteau pour Frattesi et Tourè

De notre correspondant Filippo Conticello

2 août 2024 (changement à 21h45) – PISE

Alors que Lautaro se dépêche de rentrer tôt, Thuram vient de recommencer à transpirer et Taremi doit faire face au premier petit problème musculaire italien, l’Inter dans la chaleur de Pise voit le pire de ses soupçons se confirmer : il y a peu en attaque derrière les trois. presque rien. Si l’on ajoute à cela les jambes pleines, un peu de distraction estivale normale et un rival très motivé, cela explique ce match nul lors du match amical « fratricide » des frères Inzaghi : le 1-1 avec un but de Bisseck s’est joué jusqu’au dernier souffle. dans un match dédié à l’ancien double Gigi Simoni, honoré par les deux clubs au départ. Si les Nerazzurri de Simone n’étaient certainement pas en tenue de fête, l’équipe de Pippo a au contraire fait forte impression au-delà du premier but de Piccinini.

première moitié

Au moins au début, Barella détient les clés de l’Inter avec Mkhitaryan à gauche, déjà le plus brillant de l’entreprise, tandis que Zieliski doit encore une fois se déplacer à droite, dans une position différente par rapport aux anciennes certitudes napolitaines. En première mi-temps, outre les milieux de terrain Bare-Micki, le manieur de ballon était Carlos Augusto, capable de se rapprocher du but aussi bien de la tête que du pied, tandis qu’à droite, le jeune Kamate était loin d’être à la hauteur. Et encore une fois, un défenseur « équipé » comme Acerbi (qui complète le département Bisseck et le bébé Fontanarossa) est le plus en difficulté en raison de la charge de travail des premières semaines, tandis que la paire d’attaquants naïfs Salcedo-Correa est la démonstration qu’elle servirait comme pain aussi un cinquième pourboire. Dans ce contexte, en première mi-temps, c’est le Pisa de Pippo qui se montre plus dangereux et audacieux, avec plus d’envie et de fraîcheur, grâce surtout aux fentes continues de l’ailier gauche Tramoni. Le danger est constant, on voit une incursion de Beruatto et un tir du pied droit de Marin, puis voici le but du 1-0 avec une frappe de Piccinini après le poteau de Moreo. Ce qui a fait trembler Pise, cependant, c’est la blessure d’un excellent Esteves à la 31e minute, sorti sur une civière et en larmes à cause d’un choc presque accidentel avec Carlos Augusto : l’Arena Garibadi est restée dans un silence contre nature pendant que tous les joueurs Les Toscans mettaient leurs mains dans leurs cheveux, on craint déjà un long arrêt à cause d’une blessure au genou

Deuxième partie

En seconde période, Inzaghi de l’Inter, comme prévu, renverse au moins une partie de la cavalerie sur le terrain : Carlos Augusto se retrouve bras dessus bras dessous avec Bastoni habillé pour une fois en défenseur central et Bisseck confirmé dans sa position. Si la droite change complètement d’avis avec Darmian, la gauche revient entre les mains de Dimarco. Le remplacement Frattesi-Salcedo permet alors de travailler avec son imagination: avec l’entrée des bleus, Zielinski se déplace vers la gauche pour confirmer son utilité sur tout le devant des milieux de terrain, tandis que le deuxième attaquant à côté de Correa est réalisé par Micki, le couteau arménien habituel capable de tout. Maintenant, la différence de taille entre l’équipe avec le scudetto et celle destinée à naviguer dans une noble zone des séries éliminatoires de Serie B peut être vue, comme d’habitude : les opportunités sont toutes de l’Inter et la puissance de Bisseck chevauchant Darmian produit une grêle de croix. D’un côté, Frattesi ajuste bien son tir et touche le poteau du pied gauche, puis peu de temps après, d’une frappe centrale, il se rapproche à nouveau du filet.

la fin

C’est au tour de Calha de jouer le directeur (le Polonais sorti) et d’Arnautovic qui, cependant, déjà après le premier ballon, commence à vaciller et à toucher étrangement sa cuisse. Pourtant c’est l’Autrichien lui-même qui suit une contre-attaque de Micki et donne un ballon à pousser seulement à l’intérieur : pour une fois le milieu de terrain n’est pas parfait et le gardien Nicolas, qui a succédé à Semper, se surpasse. Son collègue Martinez, de l’autre côté, fait sensation avec le premier canard Nerazzurri qui termine sur le poteau de Touré. Arna, boiteuse, a même eu le temps de dévorer encore quelques buts, tandis que l’égalisation n’est intervenue que dans la toute dernière action confuse avec le ballon empoché au corps à corps par Bisseck. Le public pisan qui protestait contre les retards au centre sportif avait savouré le succès prestigieux, mais bénéficie encore d’un joli cadeau début août, alors que l’Inter doit reconstruire au plus vite sa meilleure attaque.





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