L’Inter accuse Commisso d’avoir frappé à la porte du vestiaire. Les violets nient

par notre correspondant Vincenzo D’Angelo

23 octobre
– FLORENCE

La tension monte en flèche. Sur le terrain mais aussi dans les tribunes. Avec des trains jusqu’à la porte des vestiaires. Dans la finale convulsive, tout s’est passé, avec des accusations et des démentis sur un prétendu « clash » dans l’après-match. Avec des versions évidemment différentes.

LES FAITS

L’Inter a fait savoir que ses dirigeants avaient été agressés verbalement dans les tribunes du Franchi en fin de match par la direction violette et que cela ne s’arrêterait même pas là. Selon la version Nerazzurri, en effet, le président Commisso se serait jeté avec force contre la porte des vestiaires de l’Inter, en la frappant de ses poings. Cette version est cependant catégoriquement démentie par la Fiorentina.

LE LICENCIEMENT

Selon le club violet, en effet, le président Commisso ne serait pas descendu aux vestiaires et le dg Barone n’a ouvert qu’une porte qui depuis la tribune d’autorité mène à la partie basse du stade où, en plus de l’habillage de l’Inter chambre, il y a aussi celle de la Fiorentina. La porte était donc fermée et Barone ne l’ouvrit que pour rejoindre son équipe et la féliciter. Par ici? On verra dans les prochains jours, mais la queue de la polémique promet de possibles nouveaux rebondissements.



ttn-fr-4