L’Inspection économique informe la ‘VRT NWS’ qu’elle a reçu plusieurs rapports l’année dernière concernant le projet White Sands, mais qu’aucune pratique commerciale trompeuse n’a pu être établie sur la base de ces rapports. « Il n’y avait pas d’indices suffisants pour ouvrir un dossier pénal », semble-t-il. « Sur la base de nouveaux éléments ressortant du rapport, l’enquête sera relancée. »
‘Pano’ a critiqué le gouvernement belge tout au long de l’histoire, car, selon l’émission One, l’Inspection économique a reçu beaucoup de détails remarquables sur le dossier de la « station fantôme », comme les rendements « garantis » élevés pour les investisseurs belges qui ont été mentionnés mais qui ont réduit ou même arrêté complètement à la mi-2019. La construction de la station et les retours sont au point mort depuis au moins quatre ans. Les investisseurs belges craignent d’avoir perdu leur argent.
De plus, l’Inspection économique a également pu lire le contrat signé par les investisseurs et, selon ‘Pano’, il montre des risques clairs qui n’ont pas été transférés aux investisseurs au moment de l’achat, alors que cela est obligatoire. Le professeur de droit fiscal Michel Maus (VUB) l’a qualifié « d’incompréhensible » dans une réaction que l’Inspection économique a laissé passer l’affaire.
Un agent immobilier d’Aarschot, qui a vendu les appartements et suites ici en Belgique, tente maintenant d’apaiser les victimes à HLN : « Tout sera terminé l’année prochaine. Il qualifie également les plaignants qui ont perdu leur argent de « têtes brûlées frustrées ». HLN retrace également l’histoire de l’homme d’affaires britannique flamboyant derrière la société de développement au centre du scandale de l’escroquerie.