L’Inspection de l’environnement humain et des transports (ILT) détient 39 navires historiques en raison du manque de papiers valides, a rapporté jeudi le service. L’inspection a décidé de contrôler un total de 250 navires de la soi-disant flotte brune en raison d’un accident mortel dans lequel une fillette de douze ans a été tuée.
L’ILT assiste la police dans l’enquête pénale sur l’accident. L’inspection indique également qu’elle a déjà contrôlé tous les navires de la même compagnie que le navire dont la flèche s’est rompue avant la fin de l’enquête policière. En effet, lors d’un précédent accident, un certificat s’est également avéré incorrect.
L’accident avec la fillette de douze ans s’est produit le 31 août dans la mer des Wadden près de Harlingen. Une flèche s’est rompue, qui s’est avérée plus tard affectée par la pourriture du bois.
La jeune fille qui a été touchée par la perche est décédée sur place des suites de ses blessures. Elle était en semaine de voile avec onze autres étudiants.
Les parents de la fille tiennent la compagnie maritime pour responsable. L’accident mortel aurait pu être bien pire, disent-ils.
Plusieurs accidents mortels ces dernières années
Ces dernières années, plusieurs accidents mortels ont eu lieu sur des voiliers historiques. En 2016, trois personnes sont mortes dans un accident avec le voilier Amicitia à Harlingen. Le mât du navire s’est rompu à cause de la pourriture du bois.
En 2019, l’industrie a été choquée par un autre accident mortel dans un chantier naval à Zaandam. Puis le mât d’un navire s’est soudainement rompu à cause de la pourriture du bois et est tombé sur un employé.
Il y a trois mois, un homme est décédé après un accident sur le navire affrété Wilhelmina, qui a également Harlingen comme port d’attache. Ensuite, la flèche en acier est tombée du navire, selon la police.
L’Office néerlandais de la sécurité (OVV) a conclu en 2017 après une enquête qu’il y avait beaucoup de mal dans l’industrie dans le domaine des connaissances, de la maintenance et de la sécurité. Par exemple, les inspections obligatoires ne seraient pas toujours suffisantes pour découvrir la pourriture du bois dans les mâts. Des mesures de sécurité seraient alors prises.