L’icône Bennie Wolbers s’arrête après 35 ans : “Je suis maintenant parmi les choux pointus”

Un visage familier d’Emmen ne sera plus vu (en fonction) le long des champs (sud-est) de Drenthe à partir de la saison prochaine. Le photographe et journaliste Bennie Wolbers (78 ans) pose l’appareil photo, le stylo et le microphone après 35 ans.

Cet après-midi il présente pour la dernière fois le programme sportif de ZO!34 puis c’est fini pour Wolbers.

Du moins, presque. “Ne rien faire du tout, ce n’est rien”, dit-il. Mais le journaliste remplira son existence autrement. “Avant, j’étais occupé 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Si je n’allais pas à un match de sport, je prenais des photos lors d’un 60e anniversaire de mariage ou d’une récompense royale. Ou le bip sonnait la nuit et Je m’envolais du lit pour faire un message à propos d’un accident ou d’un incendie.”

Maintenant, il ne se concentre plus sur les emplois de journaliste, mais sur les petits boulots dans et autour de sa maison ou sur l’aide à la famille ou aux personnes du quartier. Il s’avère que, car avant que Wolbers puisse téléphoner, il doit retirer son masque anti-poussière. “Je fais des petits boulots à la maison. Avant, je devais sous-traiter ça, mais maintenant j’ai le temps moi-même.” Il a également échangé les grévistes sur le terrain de football contre du charbon de son propre jardin. “Nous avons échangé les jardinières du jardin contre des bacs à légumes. C’est aussi très agréable de s’occuper.”

Wolbers met lentement fin à tout. Et ça fait pas mal de points, car en plus de son travail de journaliste pour ZO!34, il a fait des articles, collecté des résultats sportifs et pris des photos pour des journaux (locaux) et plusieurs diffuseurs. Il a également organisé l’élection sportive de la commune d’Emmen. Grâce à l’aide d’un quart inattendu, il peut mieux mener à bien ces activités. “Je repense aux 35 dernières années avec grand plaisir. Mais pendant la période corona, j’ai appris qu’il y a autre chose que faire des reportages radio et que ces choses sont aussi très belles.”

Ce faisant, il troque un passe-temps pour un autre, car “la radio a toujours été un passe-temps”, dit-il. “Parfois, les gens pensent que je dois être multimillionnaire parce que j’étais absent sept jours sur sept”, dit-il en riant. “Mais c’était surtout un passe-temps. Pour faire de la radio, surtout au début, il fallait ajouter de l’argent. J’ai ensuite acheté moi-même l’équipement et j’ai aussi payé l’essence moi-même”, dit-il à propos des premières années à Radio Emmen. . “J’ai toujours fait ça avec grand plaisir, mais certainement pas pour l’argent.”



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