Le pilote Mercedes a déclaré en décembre de l’année dernière, avant la première course à Djeddah, que ce n’était pas son choix de courir dans le pays tant discuté. « Mon avis est toujours le même. C’est terrible d’entendre des histoires », a déclaré le pilote britannique.
Hamilton a également appris qu’une lettre lui avait été envoyée par la famille d’Abdullah al-Howaiti, un jeune homme arrêté à 14 ans et récemment de nouveau condamné à mort. « C’est une situation très complexe. Mais nous sommes aussi en 2022. Il devrait être facile de faire la différence. C’est principalement la responsabilité des personnes au pouvoir, mais il ne s’est pas encore passé assez de choses. Je pense qu’il est important d’en savoir plus sur certaines choses et de comprendre pourquoi les situations ne changent pas. Je suis ouvert à la discussion. »
Hamilton est d’accord avec les propos de son coéquipier Mercedes George Russell et Daniel Ricciardo (McLaren), entre autres, selon lesquels la Formule 1 est également en mesure d’avoir un impact positif. « Nous avons la possibilité d’essayer au moins de changer quelque chose, même si c’est quelque chose de petit. Ce n’est pas notre choix d’aller ici.
Russell a ajouté : ,, C’est inquiétant de voir ce qui se passe à certains endroits. J’espère qu’en faisant la course ici, nous pourrons sensibiliser les gens. Que la Formule 1 puisse dire dans trente ou quarante ans que nous avons apporté un changement positif dans la communauté. »