Le Premier ministre canadien Justin Trudeu a averti que le fonctionnement du service servirait les intérêts de l’opposition.
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L’étiquetage par Twitter des médias financés par l’État a également incité le radiodiffuseur canadien CBC à quitter le service.
Le service de médias sociaux Twitter a récemment marqué les médias avec une étiquette qui implique que les médias financés par l’État sont financés par l’État et sape ainsi la crédibilité des sociétés de radiodiffusion.
– Notre travail journalistique est indépendant et impartial. Dire le contraire est faux. Pour cette raison, nous suspendons nos activités sur Twitter, a commenté CBC sur l’incident dans un tweet.
Premier ministre du Canada Justin Trudeau a également quitté l’affaire. Selon Trudeau, qualifier Yleisradio de « financée par le gouvernement » ferait fuir son adversaire politique, un membre influent du Parti conservateur Pierre Poilievre buts.
– Maintenant, les gens savent que c’est de la propagande de Trudeau et non des nouvelles, a célébré Poilievre dans son tweet.
Trudeau a déclaré que les objectifs politiques de Poilievre ne sont pas dans l’intérêt du peuple et affirme qu’il joue dans les poches des milliardaires américains protégés par les géants de la technologie.
L’affaire a été signalée, entre autres Gardien.
Frapper d’une main lourde
Twitter utilise également le label parrainé par l’État pour les agences de propagande russes et chinoises. Selon le Gardien Twitter a déclaré qu’il utilisait cette balise pour les comptes liés à la géopolitique et à la diplomatie.
Le radiodiffuseur public américain NPR avait précédemment décidé de quitter le service après avoir reçu une étiquette indiquant qu’il était financé par l’État.
La société a également attribué le même label aux diffuseurs australiens ABC et SBS. Cependant, selon leurs commentaires, les entreprises ne quittent pas le service.
La société n’a répondu aux demandes de commentaires des médias qu’avec des émoticônes de caca. Twitter est un milliardaire de la technologie d’Elon Musk propriété privée, et il semblerait qu’il ait exploité le service pour populariser sa propre vision du monde.