L’impact émotionnel d’une décision de justice est particulièrement important pour de nombreuses victimes et proches survivants, constate le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open VLD). « Désormais, les victimes seront systématiquement informées de leurs droits lors du prononcé de la peine. »

Cette automatisation commencera le jeudi 1er septembre. Après que le juge a prononcé une peine assortie d’une peine d’emprisonnement, les parties civiles recevront toujours une lettre expliquant leurs droits. Cela comprendra également une «fiche de victime», avec laquelle ils pourront indiquer comment ils souhaitent exercer ces droits.

De plus, pour les victimes et les proches de crimes graves, les maisons de justice les contacteront spontanément au sujet de leurs droits. Ils recevront automatiquement une notification à cet effet. Ce sont des actes intentionnels et non intentionnels qui ont causé la mort d’une victime, y compris l’empoisonnement et la torture, et le viol. Même après des condamnations pour « tentative » de tels crimes, les assistants judiciaires contacteront les victimes.



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