Le LABOR devra augmenter les impôts pour combler le « trou noir vert » dans ses objectifs écologiques pour 2030, ont averti les conservateurs.
Le patron Sir Keir Starmer « prend les familles et le pays pour des imbéciles » avec son nouveau plan de dépenses climatiques, selon la secrétaire à l’Energie Claire Coutinho.
Elle a dénoncé après que la chancelière fantôme Rachel Reeves ait déclaré qu’elle était « déterminée » à atteindre l’énergie propre d’ici 2030, malgré l’abandon de la promesse d’investissement de 28 milliards de livres sterling par an du Labour.
Sir Keir s’engage désormais à dépenser 23,7 milliards de livres sterling supplémentaires sur cinq ans – en respectant la quasi-totalité de ses promesses énergétiques, mais pour moins.
Cette semaine encore, il a déclaré que les 28 milliards de livres sterling annuels étaient « désespérément nécessaires » pour atteindre l’objectif vert, avant de l’abandonner jeudi.
Mme Coutinho a déclaré : « Les travaillistes prétendent qu’ils ont les mêmes politiques que mardi, mais que maintenant, tout cela est en quelque sorte moins cher.
« Cela montre qu’ils n’ont pas de plan, et nous savons où cela se termine : des impôts plus élevés pour les travailleurs qui travaillent dur. »
Le président du parti conservateur, Richard Holden, a déclaré que les travaillistes avaient créé un « trou noir vert » sur leur programme écologique.
Il a déclaré : « Nous savons que les travaillistes sont toujours déterminés à poursuivre leurs folies écologiques, mais ils tentent de tromper le peuple britannique. »
Cela s’est produit alors que le conseiller travailliste Juergen Maier a rompu les rangs pour critiquer publiquement le revirement, déclarant : « Ce n’est pas bon pour le changement climatique ou pour la croissance de notre économie. »
Pendant ce temps, le gourou vert travailliste, l’ancien leader Ed Miliband, a insisté sur le fait qu’il n’avait pas envisagé de démissionner lorsque Sir Keir a débranché les 28 milliards de livres sterling.
Interrogé par Channel 4, il a répondu : « Absolument pas. La Grande-Bretagne va faire bouger les choses en matière de climat et c’est là le test.»