Les TIC continuent d’être une préoccupation pour la municipalité de Groningue. Forcer une rupture avec le partenaire contractuel Fujitsu est imprudent et imprudent

La municipalité de Groningen ne pousse pas l’affaire avec Fujitsu Technology Services au sujet des problèmes avec la fourniture des TIC à un point critique. Malgré les millions que la relation difficile a coûté.

Ces dernières années, les services TIC se sont accompagnés de nombreuses défaillances dans un environnement TIC obsolète. Les tensions entre la municipalité et le partenaire contractuel Fujitsu ont augmenté. Il y avait des discussions sur les coûts supplémentaires encourus pour maintenir les systèmes opérationnels.

L’accent était mis sur la mesure dans laquelle les travaux supplémentaires devaient relever des accords contractuels ou être considérés comme des travaux supplémentaires. La municipalité de Groningen envisageait de reprendre une partie des services ICT et de mettre Fujitsu de côté. Au total, Groningen facilite 7000 utilisateurs actifs avec 3700 ordinateurs portables, 2200 tablettes et 350 progiciels.

Éviter les retards

Le conseil municipal a discuté de l’avenir de la fourniture de TIC et des problèmes financiers avec Fujitsu à huis clos cette semaine. Le bourgmestre et les échevins pensent qu’il est trop risqué d’arrêter l’entreprise japonaise et de mettre les choses à cran. La municipalité veut retirer une partie des activités de Fujitsu en concertation et les transférer à d’autres entreprises.

Ce transfert nécessite l’aide de Fujitsu, qui connaît les systèmes et est à la hauteur de ses oreilles dans le réseau TIC de la municipalité. Se disputer avec cette société pourrait entraîner un transfert retardé et donc coûteux. Il semble judicieux au conseil municipal de séparer au mieux et par étapes.

Pour l’instant, la municipalité et Fujitsu sont condamnés l’un à l’autre depuis qu’ils ont conclu un contrat entre eux en 2018 qui court jusqu’en 2024. Le conseil municipal d’alors s’estimait riche. Après avoir externalisé la plupart des installations TIC, la municipalité économiserait au moins 4 millions d’euros par an à partir de 2021. Il s’avère que ce n’est pas le cas.

Couper en cinq parties

Peu de choses ont été réalisées sur les économies prévues. En 2021, 1,2 million ont dû être réservés pour faire fonctionner les systèmes. Toujours en 2022, environ 1,7 million ont dû être ajoutés. La municipalité a décidé de diviser l’ICT en cinq parties et de l’externaliser progressivement à différentes entreprises. Cela la rend moins dépendante de Fujitsu.

La municipalité a des clients externes tels que le bureau des impôts du Nord, la Fondation WIJ, l’organisation régionale d’achat des municipalités de Groningue et le GGD. Il a déjà été question d’un spaghetti considérable de ressources nécessaires pour permettre à des milliers de personnes de continuer à utiliser le numérique.



ttn-fr-45