Les quartiers aux revenus les plus bas et les quartiers où la proportion de personnes d’origine non européenne est la plus élevée sont plus sensibles aux températures élevées. Un exercice de données de De Tijd le montre vendredi. Tant dans les villes-centres flamandes qu’à Bruxelles, les quartiers les plus pauvres et les plus diversifiés enregistrent le plus grand nombre de jours de chaleur.
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Les quartiers les plus pauvres sont les quartiers les plus chauds : la canicule est plus forte dans les quartiers pauvres et diversifiés
