Les publications sur Facebook réfutant les atrocités commises par l’armée russe à Butja se sont propagées comme une traînée de poudre : 208 000 « partages » en une semaine

Presque le monde entier a maintenant vu les images d’horreur de Butsha, une banlieue de la capitale ukrainienne Kiev. Les histoires d’horreur nous sont également parvenues par toutes sortes de canaux. Bien qu’il s’avère que les histoires deviennent virales sur Facebook qui réfutent les crimes de guerre à Butsha. C’est ce qui ressort d’une analyse approfondie de l’Institut pour le dialogue stratégique (ISD).



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