Les propriétaires Aa et Hunze dans la zone du tremblement de terre sont les premiers éligibles à 10 000 euros

Les résidents de la municipalité d’Aa et de Hunze peuvent être les premiers à postuler pour le troisième tour de la subvention SNN dans la zone du tremblement de terre. Les propriétaires de la zone sismique peuvent demander les 10 000 euros à partir du 6 juillet.

Le troisième cycle du programme de subventions est mis en œuvre par étapes par municipalité pour éviter des situations comme au début de cette année, rapporte RTV Nord.

En janvier, des dizaines de milliers de personnes, principalement des habitants de Groningue, étaient dans la file d’attente numérique. Des centaines d’autres se tenaient dans le froid en rangées devant les mairies. La moitié des personnes n’ont finalement pas pu postuler car l’argent s’est épuisé. Cette même semaine, le cabinet a sorti de sa poche et 250 millions d’euros supplémentaires ont été ajoutés, de sorte que les quelque 53 000 bénéficiaires puissent recevoir leur subvention, dont 123 ménages de Drenthe.

À la suggestion de SNN, le troisième cycle du programme sera ouvert par municipalité, en commençant par Aa et Hunze. Viennent ensuite six municipalités de Groningen dans la zone du tremblement de terre.

Chaque propriétaire devrait pouvoir présenter une demande dans les trois mois, mais si cela ne fonctionne pas, il a finalement trois ans pour présenter sa demande.

Le cycle de subventions fait partie des accords de novembre 2020 entre, entre autres, la province de Groningue, le gouvernement central et les municipalités du tremblement de terre. Le Groninger Gasberaad et le Groninger Soil Movement ne voulaient pas s’engager dans cet accord. L’une des raisons en était la discussion sur la subvention.

Les organisations de la société civile ont averti qu’il n’y avait pas assez d’argent pour le programme initial. En outre, ils ont souligné l’importance de diffuser les applications.

Au Groninger Soil Movement, ils appellent la mise en œuvre du troisième cycle de subventions une bonne solution. « Mais il est beaucoup trop tard », déclare Merel Jonkheid du GBB. « Ils auraient pu savoir en novembre 2020 que les choses n’iraient pas bien. Ils auraient dû anticiper cela. »



ttn-fr-41