En effet, le programme Vital Holiday Parks de la province de Drenthe devrait s’achever cette année, mais il se poursuivra encore deux ans. L’amélioration et la durabilité des parcs de vacances de Drenthe ne sont pas encore terminées. Le comité directeur s’est engagé à améliorer le segment intermédiaire et à revitaliser les parcs vitaux qui sont encore loin d’être vitaux en tant que parcs récréatifs.
Plus de six millions d’euros sont disponibles pour le programme restant, les années 2023 et 2024.
Le programme Vital Holiday Parks est actif depuis 2018. Il stipule, entre autres, que Drenthe veut avoir cinquante parcs qui excellent l’année prochaine et que cinquante parcs doivent entrer dans un processus de transformation. En un mot, cela signifie que ces parcs doivent alors subir une métamorphose complète ou ne sont plus connus comme des parcs de vacances. Le programme a maintenant été prolongé de deux ans.
“Ce qui s’est bien passé, c’est que nos intérêts ont été largement soutenus à Drenthe”, Henk van de Boer revient sur le programme jusqu’à présent. Il est président du comité directeur de Vitale Vakantieparken Drenthe. “Par la province, les municipalités, le Conseil des loisirs de la Drenthe, HISWA-RECRON (une organisation entrepreneuriale pour les sports nautiques et les loisirs, ndlr) et surtout les entrepreneurs. Cela s’articule principalement autour de ce dernier groupe.”
Le cap présenté pour les années à venir porte, entre autres, sur l’amélioration de la qualité des parcs existants. Vitale Vakantieparken utilise la trajectoire Drenthe Uitblinkers, dans laquelle les entrepreneurs sont aidés à faire des plans. Un coach est alors déployé, afin que les plans soient effectivement réalisés. “L’intention est d’avoir des parcs qui obtiennent maintenant un cinq ou un six, obtiennent un sept ou un huit”, explique le député Henk Brink.
Van de Boer : “L’objectif est d’augmenter la qualité des parcs de vacances au sens le plus large. L’accent est mis sur l’innovation, la durabilité, l’esprit d’entreprise et le sentiment Drenthe pour les touristes.”
D’autres tâches incluent la transformation des parcs de vacances vitaux et non vitaux. Si un parc n’est plus viable, une autre destination est envisagée : “Il y a des parcs de vacances où il faut se poser la question : quel avenir ont-ils ? Les entrepreneurs doivent aussi se poser la question. Cela peut signifier qu’un parc est tellement délabré qu’on ne peut que donner un conseil : l’arrêter, faire passer un bulldozer dessus et redonner le site à la nature. Mais il est aussi possible que la municipalité y fixe une destination résidentielle. Bref, il faut regarder les possibilités par parc. Mais le propriétaire doit décider en concertation avec la personne qui délivre les autorisations », explique Van de Boer.
D’autre part, les personnes qui vivent dans les parcs, qui sont destinés aux loisirs, devraient partir. La pénurie de logements est un problème avec le passage à un parc de loisirs complet, ce qui entraîne des retards. “La demande de logements pour les demandeurs d’asile est forte, tout comme les logements pour les jeunes qui entrent sur le marché du logement, le logement étudiant pose problème. Cependant, il faut continuer à regarder ce que l’on veut d’un parc et à quoi sert ce parc l’est. Mais il a quelques contraintes.”
L’objectif en 2018 était de doubler le nombre de parcs vitaux et de diviser par deux le nombre de parcs non vitaux. Il restera en vigueur pour les années à venir. « Difficile de chiffrer cela, mais nous souhaitons lui donner un rythme supplémentaire. Dans deux ans, le programme Vital Holiday Parks sera dans toutes les têtes. Les entrepreneurs doivent se retrouver. dans ce qu’ils peuvent faire. La qualité des parcs doit être améliorée et les choses indésirables dans les parcs auront alors été frappées sur la tête », s’attend Van de Boer.