Les migrants pourraient être ÉTIQUETÉS dans le nouveau plan « arrêter les bateaux » alors que Braverman critique Starmer pour avoir « facilité » les passages illégaux


Les MIGRANTS pourraient être identifiés électroniquement pour les empêcher de s’enfuir dans le cadre de plans drastiques visant à supprimer les traversées en petits bateaux.

Suella Braverman a déclaré aujourd’hui qu’elle envisageait « toutes les options » pour surveiller les demandeurs d’asile si les espaces de détention étaient pleins.

1

Suella Braverman a refusé d’exclure la possibilité de marquer les migrants pour les empêcher de fuirCrédit : AP

Le ministre de l’Intérieur a insisté : « Nous devons exercer un certain niveau de contrôle sur les gens si nous voulons les expulser du Royaume-Uni. »

Mais elle a accusé « diverses forces », notamment des militants de gauche et des avocats, d’avoir tenté de contrecarrer l’engagement du gouvernement d’arrêter les bateaux.

Et elle a même fustigé le Parti travailliste de Sir Keir Starmer pour vouloir activement « faciliter l’immigration clandestine ».

Alors que le projet d’expulsion du Rwanda est gelé en attendant une bataille devant la Cour suprême à l’automne, le nombre de demandeurs d’asile en attente a grimpé jusqu’à atteindre un nombre record de 175 000 personnes en attente d’une décision.

Home Sec exhorte les flics à enquêter sur les données de suivi des téléphones et des vélos volés
Une révision du ministère de l'Intérieur est nécessaire de toute urgence – les règles signifient qu'elle n'est pas adaptée à son objectif

Les contribuables paient une facture annuelle de 4 milliards de livres sterling pour loger les migrants, dont 6 millions de livres sterling par jour pour les loger dans des hôtels.

En vertu de nouvelles lois, le ministre de l’Intérieur a désormais le devoir de détenir les migrants illégaux, mais l’espace dans les centres de détention est limité à 2 500 seulement.

Les autorités ont été chargées de trouver des moyens de les contrôler, y compris le marquage GPS, selon Les temps.

Mme Braverman a déclaré que le ministère de l’Intérieur « augmenterait considérablement » les espaces de détention, mais qu’il explorait une « gamme d’options » pour surveiller les migrants.

Elle a nié la nécessité de construire des milliers de nouvelles places car le Rwanda endiguerait rapidement le flux des traversées de la Manche.

Et si les vols d’expulsion étaient contrecarrés par les tribunaux, elle s’est engagée à faire « tout ce qu’il faudra » pour arrêter les bateaux.

Les organisations caritatives et les militants se sont battus pour arrêter le plan rwandais, qui a été jugé légal par la Haute Cour avant d’être annulé par la Cour d’appel.

Les juges de la Cour suprême prendront la décision finale, mais il est probable que les expulsés présenteront des réclamations individuelles qui pourraient faire échouer les vols.

Mme Braverman a fustigé : « Nous sommes confrontés à toute une série de forces déterminées à nous arrêter. Qu’il s’agisse d’avocats spécialisés en droit de l’immigration ou d’ONG, dont beaucoup ont des liens étroits avec le parti travailliste, qui agissent nuit et jour pour nous empêcher de tenir cet engagement.»

Elle a ajouté : « Le Parti travailliste n’a pas l’intention d’arrêter les bateaux, il veut la libre circulation des personnes et veut faciliter la migration illégale. »



ttn-fr-58