Les mesures pour les demandeurs d’asile à Nieuw-Weerdinge ont un effet : « Mais maintenez le régime actuel »

Les mesures supplémentaires contre les nuisances causées par les demandeurs d’asile à Nieuw-Weerdinge semblent porter leurs fruits. Début février, la municipalité a annoncé un déploiement supplémentaire de policiers, de boas et de tramways. Les interventions sont une réponse aux expériences des villageois, qui connaissent des problèmes depuis un certain temps.

Selon le président du village, Wim Katoen, la sécurité dans le village a été considérablement renforcée. « Les boas et les tramways circulent de neuf heures du matin à midi le soir. Cela fonctionne bien. Nous ne voyons presque plus de demandeurs d’asile. Ils sont immédiatement abordés et, si nécessaire, ramenés à l’azc de Ter Apel. »

Après minuit, c’est à nouveau sombre et sombre. Tentatives d’effraction, vols et comportements immoraux : tout revient aux heures de la nuit. Quelqu’un a récemment été arrêté dans la région de Siepelveen. Là, une personne avec un marteau à griffes a marché autour d’une maison.

L’appréciation des boas et des calèches s’est donc accrue. « Au départ, beaucoup de villageois étaient sceptiques, mais leur présence et leur engagement sont grandement appréciés. S’il se passe quelque chose, ils sont rapidement sur place. » Néanmoins, le nombre de rapports du village au boa et au car de rue reste considérable, dit Katoen. « En ce qui nous concerne, nous devons continuer à maintenir le régime actuel pour le moment. »

Car selon Katoen, en revanche, il continue aussi de s’essuyer le robinet ouvert, compte tenu des incidents nocturnes. « Toute personne sensée devrait comprendre que ce n’est pas une situation tenable. »

Le président du village ne veut pas que l’AZC de Ter Apel soit incapable de faire plus. Un porte-parole a indiqué il y a un mois que le lieu ne pouvait pas servir de centre de détention. « Vous pourriez établir un règlement intérieur. Par exemple, que les gens ne soient plus autorisés à quitter le site après un certain temps. »

Le coton a déjà été abordé à plusieurs reprises par le gouvernement national, les municipalités d’Emmen et de Westerwolde et la province. Accueillir des réfugiés est une noble tâche. « Et vous n’avez vraiment aucun problème avec 98% à l’AZC. Mais il y a un certain nombre de ceux qui abusent de la situation de manière horrible. Et cela ne peut plus durer comme ça. »

Des enquêtes auprès de la commune d’Emmen montrent qu’elles ont aussi l’impression que c’est relativement calme. « Nous voyons peu de rapports d’incidents », explique un porte-parole. Cependant, le grand nombre de résidents sûrs (250 à 300) qui séjournent actuellement dans l’azc suscite des inquiétudes. Le bourgmestre Eric van Oosterhout appelle donc à l’introduction rapide de la loi de distribution, grâce à laquelle les places d’accueil sont mieux réparties sur l’ensemble des Pays-Bas.

Selon le porte-parole, des consultations auront lieu prochainement entre la commune et Local Interest Nieuw-Weerdinge. La situation dans le village est ensuite évaluée.



ttn-fr-41