Au total, 240 millions de barils de pétrole seront libérés. La mesure intervient en raison de l’invasion russe de l’Ukraine, qui a fait monter en flèche le prix du pétrole ces dernières semaines. L’agence de presse Bloomberg a rendu compte de la mesure, après quoi le directeur général de l’AIE, Fatih-Birol, l’a confirmée dans un tweet. Plus de détails suivront plus tard, sonnait-il.
Birol a évoqué un rejet collectif de 120 millions de barils par l’AIE, dont 60 millions de barils par les États-Unis. Birol compte ces 60 millions de barils dans le cadre des 180 millions de barils annoncés par Biden. Indépendamment des 120 millions de barils libérés par l’AIE, les États-Unis libèrent eux-mêmes 120 millions de barils, ont indiqué des sources.