Maladies intestinales : que sont les polypes
Un dépistage comme le recherche de sang occulte dans les selles et le coloscopie ils sont en fait fondamentaux. Pour identifier rapidement le présence de polypes mais aussi maladies telles que le cancer colorectal (CCR) c’est-à-dire la deuxième cause de décès par cancer en Italie. Il s’agit de pathologies qui ne présentent pas de symptômes évidents au début. « LE polypes intestinaux Ils sont de nature adénomateuse lésions du côlon prédisposant à la formation d’un carcinomece sont donc des formes prétumorales – explique le spécialiste. – Par rapport à une muqueuse normale, celle du polype présente de petites altérations qui constituent l’antichambre des altérations qui caractérisent alors la lésion carcinomateuse. C’est bon de savoir ça Les polypes ne provoquent pas de symptômes, surtout lorsqu’ils sont petits. C’est-à-dire qu’ils ne provoquent pas de signes d’obstruction, de modifications dans l’intestin et même pas de saignement. Pour cette raison, quel que soit le dépistage de sang occulte fécal indiqué chez les plus de 50 ans, nous recommandons toujours de passer également une coloscopie..
Pourquoi le dépistage est important
UN un aspect que l’on a souvent tendance à ignorerest-ce que c’est le coloscopie permet non seulement de diagnostiquer la présence de polypes mais aussi d’intervenir sur ceux-ci.
«Par rapport aux autres tests de dépistage dont nous disposons en médecine, comme la mammographie, la coloscopie est un test diagnostique mais aussi opérationnel – explique le Dr Bianchetti. – Cela signifie que le patient qui subit la coloscopie peut en même temps recevoir l’élimination de tous les polypes et peut donc compter sur un une véritable prévention du risque de cancer».
Quand subir un dépistage
Pour cette raison, même en l’absence de symptômes, un dépistage est nécessaire recommandé à tous les plus de 50 ans.
«Mais les gens qui ont un familiarité avec le cancer colorectalc’est-à-dire qu’ils ont des parents au premier degré qui ont eu un cancer du côlon à un jeune âge, ils devraient anticiper le dépistage – explique le spécialiste. – Habituellement, le conseil est 10 ans plus tôt que l’âge auquel le cancer a été diagnostiqué à un membre de votre famille. »
Coloscopie : un test qui fait peur
Toutefois, si les programmes de dépistage colorectal ne décollent pas comme ils le devraient, c’est aussi parce que beaucoup de gens craignent encore la coloscopie.
«C’est définitivement un test invasif ce qui, en tant que tel, ne doit pas être pris à la légère par le personnel médical – explique le Dr Bianchetti. – Il est cependant important de rappeler que la coloscopie c’est maintenant devenu un examen de routinequi peut et doit être abordé sans crainte de douleur ou de complications telles qu’une perforationqui représente généralement la plus grande peur chez les patients mais qui cela se produit en fait dans un très faible pourcentage de cas, moins de 1 %.. Le seul véritable désagrément de l’examen est la préparation intestinale mais c’est un désagrément qui peut être résolu, sachant qu’il s’agit d’un test qui sauve des vies et qui vous permet d’éviter des problèmes plus graves à l’avenir».
Cancer colorectal : les signes avant-coureurs
Tout aussi important, c’est ne sous-estimez aucun signal ce qu’ils peuvent faire suspect un problème intestinal.
« N’importe qui anomalie importante qui se produit de la manière normale dont on est habitué à évacuer cela doit constituer un signal d’alarme – souligne le spécialiste. – Par exemple, le apparition de sang dans les selles mais aussi une modification majeure de la fréquence avec lequel vous avez l’habitude d’évacuer. Même un un changement dans la forme des selles peut être un signe: une tumeur dans la partie terminale du côlon, en effet, peut modifier la voie de sortie des selles qui subissent donc un changement de forme. Tout cela est un signal d’alarme à soulever contacter un spécialiste pour plus d’informations ».
Maladies intestinales : les règles pour les prévenir
Sans oublier qu’en vue de prévenir les pathologies intestinales les plus courantes, le mode de vie peut aussi faire une différence. Le règles suivre ?
« Mouvement régulier, hydratation abondante et alimentation pauvre en graisses mais riche en fibres et les aliments qui peuvent aider à maintenir la régularité de l’intestin sont les règles de base – conclut le Dr Bianchetti. – Il s’agit en fait de de bonnes habitudes qui peuvent limiter les risques de problèmes intestinaux. Il faut cependant rappeler que les mécanismes à l’origine de l’apparition de polypes ou d’un cancer du côlon dépassent la simple bonne volonté que l’individu peut y mettre. C’est précisément pour cette raison, comme nous l’avons dit, les projections ne doivent jamais être sous-estimées».
Maladies intestinales : l’initiative dédiée
Et c’est précisément dans le but de promouvoir une information correcte sur les maladies intestinalesque les spécialistes du Groupe MultiMedica ont organisé deux jours de sensibilisation et de rencontres gratuites à Miano.
Vendredi 25 (de 14h à 18h) et samedi 26 octobre (de 10h à 13h) tous‘Arc de la Paixil sera possible de visiter un côlon gonflable géant (3 m de haut et 36 m² de surface), qui offre une représentation fidèle de l’organe et de ses pathologies les plus courantes, tels que les polypes, les diverticules et les tumeurs.
Consultations gratuites à Milan
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