Les 25 maires du Conseil de sécurité ont promis les places d’accueil temporaires pour demandeurs d’asile demandées par le cabinet du 1er juillet au 1er octobre. Un porte-parole du Conseil de sécurité le confirme CNRC† Le cabinet a précédemment appelé les régions de sécurité à fournir un accueil supplémentaire aux demandeurs d’asile afin d’alléger le fardeau du centre de demande de Ter Apel, où les demandeurs d’asile ont été contraints de passer la nuit sur des chaises pendant des semaines.
Les 25 régions de sécurité veulent chacune chercher 225 places d’hébergement d’urgence supplémentaires, bien qu’un certain nombre de régions aient déclaré qu’elles n’étaient pas sûres que cela fonctionnerait. Il est également prévu que les municipalités fournissent conjointement 7 500 logements temporaires pour les titulaires de statut, afin que davantage de flux soient possibles à partir des centres de demandeurs d’asile. Selon l’agence de presse ANP, le cabinet a promis 40 millions d’euros pour rendre cela possible. De plus, le gouvernement envoie trente fonctionnaires dans chaque région de sécurité pour aider à mettre en place les lieux d’accueil.
La semaine dernière, le secrétaire d’État Eric van der Burg (Asile, VVD) a annoncé qu’environ trois cents demandeurs d’asile du centre d’accueil surpeuplé de Ter Apel déménageaient vers un nouveau centre d’accueil dans une autre commune. C’est le résultat de la première consultation de la cellule de crise pour améliorer le flux des demandeurs d’asile, à laquelle participent également les présidents des 25 régions de sécurité.
L’équipe de crise s’est à nouveau réunie lundi, mais le cabinet et les régions de sécurité ne sont pas encore parvenus à un accord. Selon le maire Theo Weterings van Tilburg (portefeuille de l’asile à l’Association des municipalités néerlandaises), les consultations ont été interrompues, entre autres, parce que les régions voulaient que le cabinet fasse quelque chose au sujet des places d’accueil supplémentaires.