Les Limousins ​​du domaine Einde Gooi sont le nouveau style de viande

De nombreuses spécialités traditionnelles de notre région disparaissent, mais de nouvelles initiatives apparaissent également. Quelles choses spéciales les gens créent-ils encore dans le Gooi et pour le Gooi ? Aujourd’hui : les bovins Limousin de l’agriculteur Eric van der Woude.

Viande naturelle de ‘t Gooi – Erik Boatsman

Il ne se soucie pas beaucoup de l’azote ou des nouvelles règles d’épandage du fumier. C’est bien ici. Eric van der Woude rote consciemment. Et un agriculteur conscient réfléchit : « Pourquoi ai-je reçu autant de compliments de la part des gens qui venaient chercher mes colis de viande… mais pourquoi ne sont-ils pas revenus ?

Il n’y a que quelques pas entre les paquets de viande brillants sortis de son congélateur et la plus ancienne écurie. Il préférerait que ses animaux soient abattus ici, sur la propriété, mais cela n’est pas permis. Lignes. Van der Woude : « Je les amène toujours moi-même et toujours par paire, pour qu’ils restent un peu à l’aise. » Ses Gooise Limousins ​​apparaissent alors sous forme de viande à la carte des restaurants des environs. Il les vend également à domicile ou via un site de viande bio.

Viande locale

Ses près de 300 bovins limousins ​​sont en stabulation pendant l’hiver. Il montre fièrement le plus vieux taureau reproducteur, Ianus, et donne un nom à tous les animaux. La cour dans les bois et les prairies du domaine Einde Gooi ressemble à une ferme d’autrefois, claire et rurale. Il y a encore plus longtemps, il y avait ici une forêt à exploiter pendant la période COV. Eric aime aussi fantasmer à voix haute pour transformer son entreprise en centre d’information. Ensuite, les gens apprennent ce que cela implique. « Je pense qu’il est important que les gens apprennent à revaloriser le caractère local. Que la viande reste ici.

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Eric van der Woude avec ses vaches – Photo : Mark de Bruijn

Boulette de viande

Réduire la distance entre l’agriculteur et le consommateur est le défi, selon Eric. Et puis il s’inquiète à ce sujet. Si la volonté et la demande existent, comment y associer un modèle de revenus, de préférence sans subvention ? Il voit émerger dans cette région de petits éleveurs qui, eux aussi, changent de cap. « Mais parfois, je suis en train d’épandre du fumier et quelqu’un entre dans la cour et me demande deux boulettes de viande », dit-il avec un sourire mesuré. Cela n’aide pas. Et s’ils viennent tous manger une boulette de viande ou un steak, alors il doit dire non. Si seulement on lui expliquait que les gens doivent manger toutes les parties d’une vache, alors nous nous porterions tous bien.

De la viande via une application

Eric montre une application, une initiative de collègues, qui permet de voir combien de mangeurs de viande se sont déjà inscrits pour une vache. Il ne va à l’abattage que lorsque toutes les pièces ont été vendues. « Parce que savez-vous combien de fois vous pouvez manger avec un paquet de trois kilos ? Eh bien, il l’a fait pendant des semaines. « Entre le produit carné et le commerce, il y a de plus en plus de divergences. Vendre directement est devenu compliqué. Suite à la tendance à manger de la viande de manière plus consciente et à rechercher de la viande locale, il est important d’apprendre à anticiper davantage. L’agriculteur Eric produit environ 50 veaux chaque année. Autant de vaches vont à l’abattoir, ce qui est très clair. Taureau Ianus peut rester encore un an.



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