Les initiatives éditoriales du Groupe 24 Heures pour la Journée du souvenir de l’Holocauste


Radio

Certains des témoignages recueillis dans le podcast seront proposés aux auditeurs de Radio 24 le vendredi 27 janvier lors de « 24Mattino », où Simone Spetia ouvrira l’étude approfondie du Memorial Day avec la réflexion de Paolo Mieli sur le phénomène de la mémoire qui commence également être des enfants des survivants.

La voix de l’un des survivants de l’Holocauste sera également le protagoniste de « Matteo Caccia Racconta : Histoires de renaissance » diffusée à 15h00. Par ailleurs, le dimanche 29 janvier, un épisode spécial d' »Europa Europa » de Gigi Donelli consacré au « Sens de la mémoire en Europe » avec le témoignage de Tatiana Bucci, internée à l’âge de 4 ans dans le camp d’Auschwitw-Birkenau.

La collaboration entre l’Association Fils de la Shoah et Il Sole 24 Ore se poursuit, qui cette année aussi diffuse en streaming, depuis la page dédié, le rendez-vous dédié aux écoles dans lequel la parole et les souvenirs d’Emanuele Fiano retraceront l’histoire de son père Nedo en retraçant les moments les plus saillants de sa terrible expérience en les encadrant dans la grande histoire du XXe siècle. le passage de témoin devient un acte de courage, de responsabilité et de volonté de ne pas oublier pour construire un monde meilleur. En deuxième partie de matinée, le Jazz Orchestra du maestro Pino Jodice jouera des pièces de compositeurs américains, fils de survivants de l’Holocauste.

Les livres

L’offre littéraire du Sole 24 Ore est dense, présentant trois livres en kiosque destinés à un large public comprenant adultes et enfants. Les premiers tomes, déjà disponibles en kiosque avec Il Sole 24 Ore jusqu’en février, sont « Juste une petite fille » et « Tout ce que je n’ai pas compris » de Lia Levi. Le premier raconte l’histoire de Lia Levi, le même auteur du roman, et sa croissance évolutive. Dans le contexte de la transition de l’enfance à l’adolescence, le livre raconte de manière simple les événements tragiques de la période historique dans laquelle se déroule l’autobiographie : de la discrimination des lois raciales, à la Seconde Guerre mondiale jusqu’au débarquement de les alliés et sa conclusion. Le deuxième volume, également une autobiographie de Lia Levi, part de la reconstruction de l’Italie après la guerre et raconte les joies et les difficultés de repenser son propre avenir et celui de tous.

Le troisième rendez-vous est avec le livre d’Edith Bruck « Il pane perso » en kiosque à partir du 27 janvier, lauréat du Premio Strega Giovani 2021 et du Prix littéraire Viareggio-Rèpaci 2021. Le volume est un roman autobiographique dans lequel l’auteur, à partir de l’histoire de son enfance qui l’a amenée à vivre le drame de la déportation dans les camps d’Auschwitz, Dachau, Bergen-Belsen, où sa mère, son frère et son père ont perdu la vie, passe ensuite à l’histoire du retour à la vie : la difficulté de la réadaptation et l’incompréhension des membres de la famille qui n’avaient pas connu la réalité concentrationnaire ; le voyage ultérieur en Israël, où il ne s’est pas intégré, puis dans diverses capitales européennes jusqu’à la réconciliation avec sa nouvelle vie en Italie, où il s’est arrêté pour vivre et a épousé Nelo Risi. Un témoignage, une mémoire comme pain quotidien et un questionnement sur la vie, sur l’avenir, dans une dernière lettre intense et profonde à Dieu.



ttn-fr-11