Mais outre le transport de marchandises, il semble que le trafic de transit vers Dudzele ou Zwankendamme ait également augmenté depuis la construction de l’A11. Et tout cela pèse sur le centre historique du village.
« Il s’agit également de l’état des routes, qui provoque des vibrations dans nos maisons », explique Pieter Vlaemynck. « Et ça m’inquiète vraiment. Et les maisons comme la mienne, qui sont ouvertes, sont vraiment sujettes aux secousses. »
Les habitants se mobilisent pour trouver une solution, car il faut que cela cesse, disent-ils.
Matthias Bil (pour Bruges) : « Nous pensons donc à des panneaux dynamiques, indiquant peut-être depuis la voie rapide que les transports lourds ne sont pas autorisés à traverser Lissewege. Ensuite, nous devrons peut-être nous tourner vers le gouvernement flamand, étant donné qu’il s’agit d’une route régionale. »