Les flics devraient parler davantage de leur travail difficile

Par Axel Lier

Chers policiers, vous avez besoin de parler (encore) plus !

Cinq scientifiques de l’Université technique ont accompagné 150 fonctionnaires en déploiement pendant plus de trois mois. Raison : Ils voulaient savoir où les agents pourraient avoir des problèmes de racisme ou de discrimination et quoi faire à ce sujet.

Résultat de l’étude à 200 000 euros : Tout sent bon en fait, mais les policiers devraient réfléchir plus souvent et parler davantage de leur métier…

Chargée de projet Christiane Howe : « Les jeunes policiers en particulier sont très sensibles aux discriminations », l’autorité « relativement diversifiée ». Lorsqu’on lui demande si le « profilage racial » – c’est-à-dire lorsqu’une personne est classée comme suspect uniquement en raison de sa couleur de peau – est répandu parmi les policiers berlinois, Howe répond : « Je ne dis pas qu’il n’existe pas, mais pas sous la forme que l’on dit.

Le métier de policier consiste « aux trois quarts à parler », poursuit le chef de projet, le métier est très « vraiment très langagier ». Howe : « Nous avons toujours vu des talents naturels là-bas. »

Néanmoins, elle pense qu’une formation plus avancée, des programmes en tandem avec des collègues expérimentés, la mise à disposition de salles de réflexion de groupe et l’expansion des programmes de conseil internes et externes sont importants.

Beate Ostertag, porte-parole de la police, déclare à propos des demandes : « Nous vérifions. »



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