Les fichiers numériques dans la chaîne pénale pourront être introduits en 2023


Les fichiers numériques dans la chaîne pénale peuvent être introduits en 2023 ANP

Cela a pris quelques années, mais la numérisation de la chaîne pénale progresse désormais à grands pas. Les ministres de la Justice Dilan Yeşilgöz et Franc Weerwind ont écrit dans une lettre à la Chambre des représentants qu’ils s’attendent à ce qu’un certain nombre de dispositions soient introduites à l’échelle nationale en 2023. C’était censé s’être passé deux ans plus tôt.

L’opération devrait permettre aux tribunaux, au ministère public et à la police de traiter numériquement les dossiers pénaux, afin que les poursuites pénales contre les suspects puissent être menées de manière moderne. La chaîne est loin derrière les autres secteurs, car beaucoup est encore arrangé par le papier.

L’un des projets pour sortir le papier de la chaîne est le dossier de traitement numérique (DPD). Ce n’est qu’en février que le premier DPD « a été envoyé avec succès par la police au parquet des Pays-Bas de l’Est ». Une semaine plus tard, le premier procès sommaire avec un dossier DPD a eu lieu « à la satisfaction des parties impliquées », écrivent les ministres. Ils s’attendent à ce que le déploiement à l’échelle nationale soit achevé l’année prochaine.

Numérisation

Les installations multimédias pourront également être mises en service dans tout le pays l’année prochaine. Cela signifie que toutes les images et tous les documents audio importants du dossier de poursuite sont disponibles pour toutes les parties. Certains tribunaux ont testé cela avec succès et peuvent maintenant être mis en œuvre davantage.

Les projets s’inscrivent dans le cadre de la numérisation de l’ensemble de la justice. Cela est devenu beaucoup plus cher que prévu, passant de plusieurs millions à plus de 200 millions d’euros.



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