Les éoliennes et les hélicoptères volant à basse altitude doivent être situés ici et ce n’est pas possible


De nouvelles éoliennes pour la transition énergétique et de nouvelles zones où la Défense peut voler à basse altitude avec des hélicoptères. Des projets ambitieux de la part de différents gouvernements, mais dans cinq localités du Brabant, les gouvernements veulent travailler sur les deux en même temps. Et cela n’est pas possible, car les hélicoptères volant à basse altitude et les éoliennes ne font pas bon ménage.

Cela ressort clairement des recherches menées par les radiodiffuseurs régionaux. Nous avons examiné les endroits où la Défense aimerait voler à basse altitude avec des hélicoptères et où les stratégies énergétiques régionales (RES) recherchent des endroits pour installer de nouvelles éoliennes. Le problème se pose dans plusieurs provinces.

Surtout le Brabant occidental
La Défense recherche par exemple trois nouvelles zones dans le Brabant pour pratiquer le vol à basse altitude avec des hélicoptères. La plus grande zone s’étend à peu près de Gilze et Baarle-Nassau jusqu’à Etten-Leur et Achtmaal. D’autres zones d’entraînement pourraient éventuellement être situées près de Steenbergen et à l’est près de Someren.

La carte ci-dessous montre les zones à basse altitude en bleu et les zones en violet où les stratégies énergétiques régionales recherchent des emplacements pour de nouvelles éoliennes. La carte n’indique pas toutes les zones de recherche : seulement là où cela entre en conflit avec les plans de la Défense. La carte est également disponible via ce lien.

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« Une seule éolienne n’est pas un problème, mais un parc éolien n’est pas sûr pour les pilotes et pour l’environnement s’il est utilisé de manière intensive comme zone où les hélicoptères peuvent voler à basse altitude », a déclaré la Défense dans une réponse.

Le ministère souligne que davantage d’espace est nécessaire pour pratiquer. « La Défense doit voler plus à basse altitude avec des hélicoptères. Une augmentation de 1 378 à 2 500 heures de vol par an est attendue », a indiqué la Défense. Pour y parvenir efficacement, les pilotes ont besoin de domaines de formation plus différents.

Phase de recherche
La Défense affirme également que les plans sont encore en phase de recherche. Par exemple, les effets sur l’environnement et les environs sont examinés. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on décidera dans quels domaines la Défense souhaite travailler. « Le cabinet devra bientôt faire un choix. La sécurité nationale et la sécurité énergétique sont toutes deux d’importance nationale », déclare la Défense.

La province a indiqué dans sa réponse qu’un problème pourrait survenir à l’avenir, mais que ce n’est pas le cas pour le moment. «C’est d’abord au tour de la défense, elle doit indiquer quelles zones de vol à basse altitude elle choisira. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il sera déterminé si des zones de vol à basse altitude seront ajoutées dans notre province et s’il y a lieu de consulter.»



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