Les développeurs du projet CapCabin gardent les options ouvertes : « Peut-être un parc de loisirs à Drouwen ?

CapCabin ne va pas parier sur un seul cheval, mais garde toutes les options ouvertes. Lors d’une réunion de résidents très fréquentée au restaurant Alinghoek à Drouwen, les développeurs du projet CapCabin ont présenté ce soir leurs plans pour un parc de tentes sur le site de l’ancien camping De Alinghoek.

Cette soirée a été une étape cruciale dans la communication entre l’entreprise et les riverains, qui ont accueilli le projet avec des sentiments mitigés. Après l’agitation suscitée par des développements similaires à Bronnegerveen, tout le monde a retenu son souffle.

Il est rapidement devenu évident que CapCabin ne suit pas une voie clairement définie dans son approche des parcs récréatifs de la région. Alors que l’entreprise de Bronnegerveen se heurte encore à un mur de résistance, elle souligne désormais que les projets pour Drouwen sont clairement différents.

Par exemple, aucun pavillon de restauration ne sera construit à Alinghoek, car il existe déjà un établissement de restauration dans la région. De plus, CapCabin ne construit pas seulement des tentes, mais opte également pour un certain nombre de granges et de taupinières. « La taupinière est une maison construite aux trois quarts contre une pente. Elle aura un toit vert en pente. Notre idée est qu’elle soit ainsi moins visible dans le paysage », explique Gerben Kirchhoff de CapCabin.

La situation à Bronnegerveen, où les projets de CapCabin d’un parc de tentes comprenant seize à vingt maisons de tentes ont suscité une forte résistance, est restée comme une ombre sur la soirée. Les habitants craignaient des nuisances et un impact trop important sur le petit village.

CapCabin semble avoir tiré les leçons des événements de Bronnegerveen, car à Drouwen, ils utilisent une approche différente. « Nous avons écouté attentivement les préoccupations exprimées », a admis Kirchhoff. « Nous sommes ouverts à tout et souhaitons surtout continuer à discuter avec vous. »

La plus grande préoccupation des résidents était de savoir quel type d’invités venaient au parc. Un résident demande s’il y aura des discussions. « A notre avis non, nous avons deux ans d’expérience et rien ne s’est jamais produit. »

Selon les habitants, deux maisons – que les promoteurs louent désormais à Odoorn – ne peuvent être comparées à 25 maisons. Kirchhoff indique que la pratique le montrera. « Si quelque chose ne va pas, nous formons un groupe d’applications avec les visiteurs du parc et nous agissons immédiatement. C’est la seule garantie que nous pouvons donner. »



ttn-fr-41