RÉ.près le succès de l’été 2021 avec Cavalleria Rusticana, clowns Et Aïda, sur Rai 3 le saison d’opéra avec le cycle Le grand opéra aux Arènes de Vérone. Né de la collaboration entre l’Arena et Rai Cultura, il compte trois rendez-vousdiffusé à partir de ce soir à 21h20. Cela commence par Carmen de Georges Bizetqui suivra dans les prochaines semaines La Traviata Et Nabucco de Giuseppe Verdi. Le propriétaire sera Luca Zingaretti.
Carmenintrigue et distribution de l’opéra de Bizet
Joué pour la première fois en 1875 à Paris, Carmen c’est l’un des opéras les plus connus au monde. Situé en 1820 à Sévilleau centre de l’histoire il y a Le sergent Don José (joué par Brian Jagde) et la gitane Carmen (Clémentine Morgaine).
Le premier acte s’ouvre avec l’intention de José de courtiser Micaela (guilde de la rivière)mais le moment romantique est interrompu par l’arrivée de la belle Carmen, qui chante le célèbre Habanera, attirant l’attention de toutes les personnes présentes, sauf celle du sergent. Lorsqu’un meurtre brutal est commis dans l’usine où elle travaille comme fabricant de cigares, elle est désignée comme coupable.
Une fois dans la cellule, elle demande à José de la libérer. Le sergent cède à son charme et lui permet de s’échapper, mais elle paiera ce moment de faiblesse par une arrestation. Un mois plus tard, dans la taverne de Lillas Pastia, Carmen a l’intention de danser en compagnie de Frasquita (Caterina Sala) et Mercedes (Caterina Dellaere) et rejette les avances des passants, en particulier de le torero Escamillo (Luca Micheletti). De plus, il avoue à des amis qu’il a amoureuse de Joséfraîchement sorti de prison.
La fuite et le duel entre José et Escamillo
L’homme lui rend la pareille et décide de ne pas se présenter à la caserne pour l’appel. Il rejoint ensuite Carmen et ils fuient avec les passeurs. Dans le troisième acte, la scène se déplace vers les montagnes, à l’intérieur de la tanière où ils se cachent. Cependant, leur relation commence à montrer des signes d’essoufflement. Les querelles sont à l’ordre du jour et l’union est destinée à prendre fin.
Blâmer non seulement les différences de caractère, mais aussi une tragédie qui est sur le point de frapper leur vie. Les cartes prédisent une mort imminente pour les deux. Alors que dans, Escamillo et José s’affrontent en duel pour conquérir l’amour de Carmenqui n’a plus d’yeux que pour le torero.
Pendant la lutte, le gitan a le temps de les diviser et d’éviter ainsi que la prophétie ne se réalise. Cela ne sert à rien, en réalité, car le couperet de la mort tombe sur la mère de José, qui est sur le point d’expirer. Le sergent s’enfuit, mais promet à Carmen que ce n’est pas fini et qu’elle reviendra pour se venger. Au quatrième et dernier acte, nous retournons à Séville. La ville bourdonne de corridas et la foule attend avec impatience Escamillo.
La mort de Carmen
Carmen cède au torero, ignorant les avertissements de ses amis. En fait, Don José est à proximité et il convient d’agir avec prudence. Quand les deux ex-amants se retrouvent face à face, José demande à sa bien-aimée de se remettre ensemble. Cependant, la gitane n’a pas l’intention de revenir sur ses pas et, devant le refus clair, le sergent commence à la menacer.
La femme répond en lui lançant la bague qu’il lui avait donnée quelque temps auparavant. Ce sont des moments de grande tension, dans lesquels la colère des protagonistes se mêle aux cris du public, exaltés par les actes d’Escamillo. Dans le chaos général, la tragédie a lieu : José attrape le poignard et tue Carmen. Immédiatement après, il se rend à la police.
Luca Zingaretti et l’hommage à Franco Zeffirelli
Au cours des trois soirées, Luca Zingaretti sera une sorte de narrateur secondaire. Il se voit confier la tâche de raconter des anecdotes, des curiosités et un contexte liés aux trois œuvres. « J’ai accepté avec enthousiasme cette invitation à participer à une si belle opération », a-t-il commenté. « Belle par le contenu et belle par les intentions, qui sont celles de partager les émotions et la beauté d’un art comme l’opéra« .
Aussi, rappelez-vous que l’opéra « né populaire » et, pour cette raison même, « Il doit rester un patrimoine commun et continuer à faire partie de l’ADN culturel et social de notre pays ». Un patrimoine qu’il faut préserver et valoriser. « Voir des milliers de personnes du monde entier, de tous âges, dans ce lieu magique qu’est les Arènes de Véroneassister au silence religieux (…) est une émotion unique », conclut-il.
Pour embellir l’oeuvre de Bizet, l’hommage à Franco Zeffirelli. La direction et les décorsen fait, ce sont ceux du réalisateur toscan. Un choix précis cependant célébrez-le 99 ans après sa naissance et de se souvenir de union indissoluble avec l’opéra. A cet égard, le Carmen de Bizet était le première œuvre qu’il monte à l’Arenapendant La Traviata était le dernier.
Les autres rendez-vous
Le rendez-vous avec l’opéra revient Jeudi 28 juillet avec La Traviata Et Jeudi 4 août avec Nabucco par Giuseppe Verdla. Afin de ne pas briser le pathétique et de permettre au public de vivre une expérience unique, les trois œuvres iront diffusé sans pause publicitaire. La direction de la télévision est confiée à Fabrice Guttuso Alaimo.
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