Les Arabes veulent acheter tout le monde : offres aussi pour Aubameyang et Bernardo Silva

Après les agents libres, les clubs arabes font maintenant des offres pour acheter les cartes et de nouveaux objectifs et des négociations ultra-rapides surgissent chaque jour.

Comme prévu, Ruben Neves n’était que le premier des joueurs que la Saudi Pro League cherche à signer. Le milieu de terrain portugais, pris pour 55 millions à Al Hilal, sera bientôt suivi par plusieurs confrères car les émissaires des quatre formations saoudiennes contrôlées par Pif, Al Hilal, Al Nassr, Al Ahli et Al Ittihad, sont très actifs en Angleterre, en Espagne. et aussi l’Italie (Brozovic). Il y a plusieurs noms qui sont comparés chaque jour aux clubs du championnat arabe. Presque tous importants, certains même des étoiles.

Bernard Silva

Aujourd’hui, le nom le plus sensationnel associé à un transfert vers l’Arabie saoudite est celui de Bernardo Silva, fraîchement sorti du triplé avec Manchester City et dans le viseur du PSG. Guardiola ne veut pas le perdre, alors que le club français fait tout pour l’acheter. Et les Saoudiens ? Ils ont présenté une offre importante pour la signature et sont clairement disposés à acheter la carte. Ils font de même avec Thomas Partey, le milieu de terrain d’Arsenal, et avec Saul Niguez de l’Atletico Madrid. Barcelone, en revanche, a été sollicitée pour des informations sur Umtiti, de retour de prêt à Lecce et désormais à la recherche d’une nouvelle aventure professionnelle. Le Français, dans le viseur de Lyon, est orienté vers le oui et l’envol vers l’Arabie.

Faire affaire avec Chelsea

Pendant ce temps, la liste des transactions que les clubs saoudiens tentent de conclure avec les Bleus s’allonge. Malgré le non de Lukaku, il y a plusieurs licenciements de Chelsea : à la liste des joueurs soignés depuis quelques jours (Al Ahli aime Mendy, Al Hilal aime Ziyech, Al Nassr Koulibaly), aujourd’hui Aubameyang a également été ajouté. Mais en Angleterre ces deals, toujours en cours, entre Pif et Chelsea suscitent la polémique. Car le principal investisseur du consortium qui a pris le contrôle pour près de 5 milliards d’euros est Clearlake Capital, une société de capital-investissement basée aux Etats-Unis et qui gère environ 60 milliards de livres d’investisseurs. Parmi ces derniers aussi Pif. Et voici la polémique : Pif aiderait Chelsea à résoudre ses problèmes de fair-play financier avec l’UEFA.



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