Les alpagas investissent le centre équestre de Tolbert lors d’un spectacle avec le juge américain Wade Gease. « Chers animaux, sauf lorsqu’ils sont en gestation »

Pas de chevaux, mais plus de 150 alpagas dimanche prochain au HJC Manège de Tolbert. Les animaux sont jugés par le juge américain Wade Gease. Hylke Liezenga, organisatrice et amoureuse de l’alpaga, s’y consacre depuis un certain temps.

Salut Hylke, comment vas-tu ?

« Ça va bien. Je suis en vacances. C’est une bonne chose, car la préparation du salon Alpaca Association Benelux prend beaucoup de temps. Je l’ai fait avec Simone, Jetze et Judith.

Les alpagas investiront dimanche le centre équestre de Tolbert. Combien de fois ?

« C’est la première fois qu’il se tient à Tolbert, auparavant au centre de conférence de Drachten. Cela n’est plus possible à cause des demandeurs d’asile qui y trouvent désormais un abri temporaire. Ma femme monte au centre équestre et l’endroit nous a séduit. C’est grand et nous avons besoin de beaucoup d’espace.

Que dois-je attendre d’une telle inspection ?

« Il s’agit de 150 alpagas qui sont jugés par un juge américain que nous avons invité et qui vient spécialement d’Amérique. Les animaux sont divisés en différentes classes. Une attention particulière est portée aux âges et aux couleurs. Un gagnant émerge de chaque classe. Tous les champions concourent ensemble pour le titre Grand Champion lors de la finale.

Pourquoi un juge américain ?

« Il s’agit toujours de rendre le spectacle attrayant. Wade Gease, également connu sous le nom de « l’homme à l’alpaga », s’est déjà rendu à Drachten une fois pour inspecter les animaux et il a passé un très bon moment. C’est pourquoi nous l’avons invité à nouveau cette fois.

Il lui reste encore beaucoup de travail à faire dimanche. 150 alpagas ensemble. Ils ont l’air mignons, mais sont-ils aussi mignons qu’ils en ont l’air ?

« Ce sont des animaux très beaux et doux, sauf lorsqu’ils sont enceintes. Ensuite, ils se montrent très féroces, notamment contre leurs homologues masculins. Ils ont un joli caractère. Gease s’intéresse principalement à la laine des animaux dimanche. Aux Pays-Bas, de nombreux éleveurs tentent d’améliorer la qualité. Qu’est-ce qu’il y a de si beau dans la laine ? C’est très doux. J’ai plusieurs paires de chaussettes et je dors sous une couette en laine d’alpaga. C’est délicieux! »

Est-ce que ces animaux aiment ce spectacle ? Si oui, comment voyez-vous cela ?

« Ils aiment ça. Surtout parce qu’ils sont tous ensemble. Ce sont de véritables animaux de troupeau et ils sont faciles à vivre et faciles à vivre. Ils sont aussi très curieux. Ils aiment toujours être dans un nouvel endroit.

Combien de visiteurs attendez-vous ?

« La dernière fois, nous avons accueilli environ 1 500 personnes en une journée. Ensuite, cela s’est étalé sur deux jours. On espère désormais 1000 visiteurs, mais c’est difficile à estimer. Parce qu’il se trouve dans un nouvel endroit, de nombreuses personnes pourraient venir le voir. Nous avons fait de notre mieux pour le faire connaître.

Combien d’alpagas possédez-vous ?

« Nous en avons 30 et en emmenons 5 avec nous. Les animaux qui arrivent sont les nouveaux poulains de l’année dernière. Ce sont des animaux potentiels pour une reproduction ultérieure et nous aimerions les présenter pour voir si nous sommes sur la bonne voie.

Les chevaux sont-ils toujours les bienvenus au centre équestre le dimanche ? Ou les coureurs devraient-ils aller ailleurs ?

« Les chevaux sont certainement les bienvenus. Le centre équestre dispose de deux manèges. Vous pouvez conduire dans la « petite » boîte. Le rideau se ferme, puis le reste est pour les alpagas.

Plus d’informations sur Wade Gease sont peut être trouvé ici.



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