La plainte a été déposée lundi devant un tribunal spécialisé de l’État américain du Delaware et s’adresse aux anciens et actuels membres du conseil d’administration et de la direction de Meta.
Au cours de la dernière décennie, les plateformes de Meta ont aidé, soutenu et facilité les auteurs du trafic sexuel généralisé, de la traite des êtres humains et de l’exploitation sexuelle des enfants qui ont eu lieu sur les plateformes à grande échelle. « Des preuves substantielles montrent que le conseil d’administration, ainsi que la direction, ont fermé les yeux, mais étaient conscients de ce phénomène grandissant », poursuivent les avocats, qui estiment que les plateformes servent à recruter des victimes.
« Les allégations contenues dans cette plainte ne reflètent pas nos efforts pour lutter contre de telles activités. Notre objectif est d’empêcher les personnes qui veulent exploiter les autres d’utiliser notre plateforme », a déclaré Andy Stone, porte-parole du géant de la technologie, à l’AFP et aux agences de presse Bloomberg. .