L’entrepreneur Irem « surpris » par le trafic d’êtres humains dans le chantier d’Anvers, mais la filiale s’est chargée elle-même des papiers

L’entreprise de construction italienne Irem se dit surprise par les allégations de traite des êtres humains sur son site de l’entreprise chimique Borealis dans le port d’Anvers, mais Irem General Contractor, une filiale d’Irem, a organisé les documents et payé les victimes. Cela ressort des communications que Gazet van Antwerpen a pu consulter.



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