L’éloge de la souffrance : si même ceux qui perdent gagnent au Tour

Morkov et Soler sont arrivés hors du temps, Jakobsen lui a échappé de justesse, Geschke a pleuré d’avoir perdu sa chemise à pois : voilà ce qu’ils nous ont appris

De notre correspondant Ciro Scognamiglio

25 juillet
– Paris

Il n’y a pas de livres d’or, l’effort de les parcourir pour les trouver serait vain. Ils n’ont pas gagné. Pourtant, ils n’ont pas perdu. Celui qui vole le cœur de ceux qui regardent, qui parvient à émouvoir un sentiment, qui dépasse ses limites au prix d’une rencontre très proche avec la souffrance, ne perd jamais.



ttn-fr-4