L’échange de prisonniers d’Olivier Vandecasteele en danger


L’échange de prisonniers d’Olivier Vandecasteele en danger

Selon la Cour, la Belgique devrait savoir que les autorités iraniennes libéreront Assadi, ce qui violerait les droits de dix personnes qui ont échappé de justesse à l’attaque qu’Assadi aurait dû commettre et qui avaient porté l’affaire devant la Cour en tant que victimes. La suspension est une mauvaise nouvelle pour le travailleur humanitaire flamand occidental bloqué en Iran, Olivier Vandecasteele. La suspension du traité peut avoir une “conséquence défavorable” pour la situation du résident d’Oostduinkerken, dit la Cour, mais cela n’a pas pu empêcher la décision.

Le vice-Premier ministre et ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne déclare dans une réaction qu’il prend acte de la décision de la Cour constitutionnelle de suspendre partiellement le traité d’extradition entre la Belgique et l’Iran, afin que le terroriste iranien condamné Assadollah Assadi ne puisse être extradé vers son domicile pays. “Nous étudions le jugement de manière approfondie”, a déclaré Van Quickenborne, qui ne commente pas davantage le contenu ou les conséquences du jugement.

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