A la place de ce plan, il faut une « politique azotée prudente, réaliste et libérale ». Le plan azote présenté vendredi va beaucoup trop loin pour eux. De nombreuses exploitations devront disparaître, mettant en péril la qualité de vie en milieu rural. La motion qui vient d’être adoptée est considérée comme un avis.
Les émissions d’azote doivent être réduites de moitié aux Pays-Bas, selon le plan du cabinet que Van der Wal a présenté vendredi. Dans un grand nombre de régions, le pourcentage d’azote doit être encore beaucoup plus réduit. Il s’agit notamment de la Gelderse Vallei, du Brabant du Nord et du Limbourg. De plus, la teneur en azote dans les zones Natura 2000 protégées doit être réduite de 95 %. De nombreuses exploitations devront cesser leur activité dans les années à venir.
Selon elle, le pays est bloqué en raison de la réglementation en vigueur et le VVD Drenthe craint que cela continue à se produire en raison de la réglementation en vigueur. On craint que les poursuites ne s’éternisent pendant des années si, en plus des organisations de la nature, les agriculteurs entament également des poursuites. VVD Drenthe veut se pencher plus spécifiquement sur les zones et pas seulement sur les émissions des entreprises. Par exemple, la proposition demande une évaluation et une enquête sur l’état de la nature.