« Le suspect qui a tiré sur Alblasserdam a envoyé un e-mail à RTL Boulevard concernant des problèmes mentaux »


Le suspect de la fusillade à la ferme de soins à Alblasserdam a envoyé un e-mail au programme télévisé juste avant la fusillade. Boulevard RTL† Le ministère public le confirme samedi soir, à la suite d’un signalement de Actualités RTL

Selon RTL, il s’agirait d’un mail de John S., 38 ans, qui aurait écrit à la rédaction qu’il était aux prises avec des problèmes psychologiques depuis un certain temps, qu’il n’était pas correctement aidé auparavant et qu’il a agi par inadvertance. « pur désespoir et désespoir. » ». S. a également avoué un autre meurtre dans la lettre, à savoir celui d’un homme de 60 ans de Vlissingen. Le ministère public a également l’e-mail entre ses mains, mais ne peut faire aucune déclaration sur son contenu, car il fait partie de l’enquête pénale.

S. aurait envoyé le courriel quelques minutes avant la fusillade, qui a eu lieu vers 11 heures vendredi matin, au cours de laquelle deux personnes ont été tuées. La fusillade elle-même n’a pas été annoncée dans la lettre. Selon RTL, S. écrit sur les frustrations et la haine qu’il ressentait, et sur ses tentatives d’admission dans une clinique. „Depuis cinq ans, je dis aux médecins généralistes et [de] soins de santé mentale au sujet de mon obsession d’acheter une arme à feu. J’ai cherché cela dans d’autres pays mais je n’ai jamais osé faire un pas. Jusqu’à il y a quelques semaines. »

Commerçant

S. aurait également placé un certain nombre de photos d’une victime tuée d’une autre fusillade avec l’e-mail : un commerçant de 60 ans de Vlissingen. Cet homme a été retrouvé mort dans sa propre affaire mercredi. Selon S., il était une victime au hasard. Ils se seraient rencontrés par le biais d’un salon de discussion et S. a déclaré l’avoir tué, entre autres, pour tester son arme.

Une femme de 34 ans et une jeune fille de 16 ans ont été tuées et deux autres grièvement blessées lors de la fusillade dans une ferme de soins à Alblasserdam vendredi matin. Au moment de la fusillade, selon la police, « une vingtaine » de personnes, comme des clients et des surveillants, étaient présentes. L’agresseur a réussi à s’échapper, mais quelque temps après l’incident, la police a réussi à arrêter quelqu’un.

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