« Une bombe à retardement. » C’est ainsi que Pierre Lefranc décrit la situation dans la prison de Gand après la grave agression entre un interné et des gardiens. Le président du comité de surveillance des prisons est triste de constater, par exemple, qu’il n’y a qu’un seul psychiatre à qui on consacre une demi-journée par semaine pour 187 internés – qui n’ont en réalité pas leur place derrière les barreaux. « C’est étonnant qu’il n’y ait pas plus d’incidents. »
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