La Grande-Bretagne ne dispose d’aucune donnée suggérant que le site nucléaire de Sellafield ait été victime d’une cyberattaque réussie. C’est ce qu’a déclaré le gouvernement lundi à la suite d’un article du journal ‘The Guardian’. L’organisme britannique de surveillance nucléaire, l’ONR, souligne les lacunes de la cybersécurité de Sellafield.
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Le site nucléaire britannique a-t-il été piraté par la Chine et la Russie ? Le gouvernement dément, le journal parle d’années de dissimulation
