tun nouveau départ, au nom de la beauté qui a été, est et sera. Une façon de voir la modecelui de Pierpaolo Picciolidirecteur créatif de Valentino qui choisit un lieu symbolique, l’escalier de Place d’Espagnepour recommencer avec leHaute couturedéplaçant les projecteurs de Paris vers Rome.
Les yeux des stars au premier rang, de Anne Hathaway à Élodievisent tous une collection Automne-Hiver 2022/2023 qui expérimente de nouvelles idées de glamour et s’éloigne des canons pour suivre l’air du temps, élargissant le spectre deinclusivité.
Défilé de mode Valentino à Rome, l’inclusion est la beauté
Plus de 100 sorties apparaissent sur le tapis roulant qui descend du sommet de la Trinità dei Monti et serpente jusqu’à la Piazza Mignanelli, empruntée par autant mannequins et mannequins de tous âges, ethnies, couleurs. Parce qu’aujourd’hui la beauté n’obéit pas à des canons rigides et à des règles préétablies.
La seule constante : laAtelierdu cœur toujours battant de la maison de couture, qui remporte les applaudissements à la fin avec le styliste, devant le parterre d’invités en signe de respect et d’émotion – mais aussi devant les nombreux les badauds affluaient pour profiter de ce qui est apparu à tout le monde, dès le début, comme un événement mémorable.
Le début: l’histoire se répète
Tout comme lors de sa fondation en 1959 dans la capitale, ainsi que sur le cliché partagé par Piccioli sur Instagram où un jeune Valentino Garavani, aujourd’hui âgé de 90 ans, est dépeint sur le célèbre escalier entouré de couturières en tabliers blancs.
Et encore, le8 juillet 2022: une date qui marque le début d’un chapitre d’une histoire toujours plus personnelle, celle de Piccioli, qui de spectateur exalté du passé passe désormais au premier plan, et réinterprète le passé glorieux sans nostalgie, plutôt, avec admiration.
Plus de 100 looks grâce à l’Atelier
Depuis le premier tenue bouquet avec le blouson rose en taffetas rouge Valentino à la dernière robe en tulle noir à imprimé scintillant brodé de sequins argentés, le communiqué de presse énumère les noms de ceux qui ont méticuleusement créé chaque robe.
Les blocs de couleurs sophistiqués, les transparences et les robes tridimensionnelles, les coiffes décorées et les ballerines à rubans, même les jupes à plumes de « coq » et slips avec le harnais dans l’âme : voilà toute cette créativité tonitruante de la haute couture à laquelle Piccioli nous a désormais habitués.
Alors que le défilé en plein air au cœur de la Ville Éternelle montre au monde qui peut le porter, de Elisabeth Dessy64 ans, athlète et mannequin, un Alaato Jaziperoriginaire du Soudan, en tête de classe Mariacarla Boscono: comme pour souligner que la beauté, dans toutes ses nuances, est simplement de tous ceux qui savent la voir.
Les stars au premier rang, d’Anne Hathaway à Elodie
« Next level » commente l’actrice Anne Hathaway aux micros de WWDdans une mini-robe à sequins roses et des escarpins vertigineux PP rosequi arrive escorté par Giancarlo Giammetti, compagnon historique de Garavani, et s’en va extatique. Ils sont assis à côté de lui Hwasachanteuse sud-coréenne aux 8,1 millions de followers, Adriana DeBose, Florence Poug.
Un peu plus loin au premier rang du défilé Valentino à Rome, Kate Hudson Et Naomi Campbellmais aussi Élodie, Mara Venier et Laura Pausini, Drusilla Foer et Symonela Drag Queen vainqueur de la 13e RuPaul’s Drag Race.
Un premier rang panaché mais harmonieux, qui reflète ce que l’on voit dans les escaliers. Universellement reconnu comme l’un des plus beaux du monde.