Le responsable de la restauration du pavillon ‘t Nije Hemelriek remporte le procès du Staatsbosbeheer

En fin de compte, l’homme du secteur de la restauration s’adresse au tribunal s’il ne trouve pas une oreille attentive de la part du Staatsbosbeheer. Parce qu’il voit son propre restaurant, pour lequel il a un bail jusqu’en 2026, menacé par la concurrence future. Orsel est également déçu par le kiosque de restauration éphémère qui est soudainement installé en été au bord du lac de baignade du Gasselterveld. « Il ne peut y avoir d’établissements de restauration concurrents dans un rayon de mille mètres, cela a été convenu contractuellement, c’est contraire à cela », accuse-t-il.

Cela vaut également pour le nouveau et grand pavillon de restauration que Staatsbosheer souhaite construire au Gasselterveld. Et là où, selon Orsel, les CFF «ont déjà une fête en tête». « Je ne peux pas encore le prouver. » Lui aussi aurait aimé avoir sa chance pour ce nouveau pavillon. « Je suis déjà assis là avec ‘t Nije Hemelriek, mais j’ai l’impression que je n’existe pas. »

Le fait que le juge lui donne désormais définitivement raison est une bonne chose pour l’homme du secteur de la restauration. « C’était une période émotionnelle difficile pour nous. Espérons que cela soit maintenant derrière nous. Ils ne nous sortiront pas d’ici. Et même si notre bail court jusqu’en 2026, ils ne se débarrasseront pas de nous aussi facilement. Les locataires sont souvent s’avèrent très utiles pour avoir le pouvoir. Et ils n’en ont pas seulement fini avec nous », conclut-il avec agressivité, maintenant qu’il a gagné le procès.

Lors de la procédure précédente, Orsel avait également négocié un montant de rachat avec Staatsbosbeheer et Werkplein Drentsche Aa. Cela devrait s’élever à 900 000 euros. Ou encore sur la possibilité qu’il puisse diriger le pavillon nouvellement construit. Mais les parties ne sont pas parvenues à un accord. C’est pourquoi le juge a quand même statué.

Le Staatsbosbeheer n’était pas encore en mesure de réagir ce soir à la décision du tribunal.



ttn-fr-41