Le rapport tant attendu sur les abus commis à De Wereld Draait Door et à l’ONG a été publié et provoque une onde de choc à Hilversum. « Comment Marc-Marie Huijbregts a-t-il pu minimiser cela ?
Cela provoque une onde de choc à Hilversum : sa publication gros reportage sur les abus commis au DWDD et à l’OBNL. Cela ne ment pas et, selon Angela de Jong, c’est « encore pire que ce que nous pensions ». Il s’avère qu’il y avait toutes sortes de sales types qui se promenaient au DWDD et qui considéraient la rédaction comme une sorte de terrain de jeu sexuel.
Champ de bataille sexuel
Chez DWDD, il était considéré comme normal que des managers masculins – on ne sait pas si Matthijs van Nieuwkerk est également inclus – dorment avec des collègues féminines occupant des postes subalternes. « Les femmes n’étaient plus les bienvenues dans la rédaction après avoir rompu une relation sexuelle avec une personne de rang supérieur », indique le rapport.
Il a également été demandé aux salariés de « faciliter l’apparence et les préférences sexuelles des managers ». « En partie à cause de ce type d’expériences, selon eux, on avait l’impression sur le lieu de travail que l’apparence et la disponibilité sexuelle jouaient un rôle dans la prise de décisions concernant les nominations ou les prolongations de contrat pour les femmes. »
Attrapé à la gorge
Le rapport mentionne également des intimidations physiques au sein du NPO, mais il n’est pas clair si cela s’est produit au DWDD. « Les exemples cités sont : des collègues qui ont été saisis à la gorge, des collègues qui ont été tirés par-dessus la table, des collègues qui ont été poussés contre le mur et qui se retrouvent nez à nez avec des collègues. »
Et quoi d’autre? « Des collègues qui ont été physiquement poussés au sol, des collègues qui ont été crachés au visage et des collègues qui se sont fait saisir les bras. »
Marc Marie
Il est incroyable que les abus commis au DWDD, qui sont désormais décrits noir sur blanc dans un rapport, aient tous été minimisés par quelqu’un comme Marc-Marie Huijbregts, déclare un ancien rédacteur en chef du de Volkskrant. Le comédien a toujours défendu Matthijs et a déclaré que tout n’allait pas trop mal.
L’éditeur de DWDD : « Alors j’ai pensé : mon garçon, tu n’as aucune idée de ce dont tu parles. Parce que tu n’as jamais été là. Oui, vous y étiez vendredi soir, dix minutes avant. Mais on n’a jamais vraiment vu ce qui se passait dans les coulisses.
Özcan et Jan
Les noms de Jan Slagter et Özcan Akyol sont également mentionnés par l’éditeur. Ils estiment également avoir minimisé la situation au DWDD. « De nombreux collègues en souffrent encore. Ils ont juste craqué. Quand j’entends Jan Slagter en parler, comme si c’était Matthíjs qui avait été détruit, je trouve cela incroyable. »
« En tant que diffuseur, vous pouvez sûrement avoir un peu de sympathie pour les personnes à qui cela est arrivé ? Surtout dans une telle position, avec tous les gens qui travaillent sous vos ordres.