Sa carrière était en ordre en Syrie : professeur de littérature française, fondateur de l’une des plus grandes écoles de langues et peut-être même ministre de la Culture. Et pourtant, Farouk Alhasbani (54 ans) a fui vers notre pays avec sa famille – loin de la guerre, loin de l’horreur. Mais que se passe-t-il maintenant, après l’éviction du président Assad ? « Nous avons posé la question à nos enfants. Ils ne veulent pas y retourner.
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