Le photographe nature André Brasse a trouvé le chroniqueur en lui-même : « Et maintenant, il y a un livret »

Le fait que Brasse s’est impliqué dans la nature pendant son temps libre et professionnellement est devenu évident dès son plus jeune âge. Il a étudié pour devenir professeur de biologie et a travaillé pour le Musée de la nature de Groningue et IVN Nature Education. «La nature a toujours été le fil conducteur», explique Brasse à propos de l’histoire de sa vie. « Vous voulez impliquer les gens et leur montrer à quel point c’est beau. »

La création de ses colonnes est très changeante. « Souvent, c’est basé sur ce que j’ai vécu il y a des semaines ou parfois la veille. » Brasse donne comme exemple : « J’avais des problèmes d’oreilles, on entend moins et on se dit : comment se portent les animaux s’ils entendent moins ? est intéressant et compréhensible pour tout le monde.

Brasse a déjà souvent pris une photo correspondante pour sa chronique. « Mais parfois, je dois chercher une image qui va avec. C’est une interaction. »

Plus l’amateur de nature de Roder parle longtemps de sa passion, plus son histoire est passionnée. Même Albert Einstein ne peut échapper à la comparaison avec la beauté naturelle (de Drenthe). Einstein a dit un jour quelque chose comme : regarde la nature et tu comprendras tout mieux. Alors, lorsque vous observez la nature, ouvrez vos sens. Vous voyez tout. »



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