Le parquet fédéral perplexe : les Syriens soupçonnés de crimes de guerre peuvent rentrer chez eux avec un bracelet à la cheville

Un Syrien de 39 ans, arrêté plus tôt cette année parce qu’il était soupçonné de crimes de guerre dans son pays d’origine, a été libéré sous surveillance électronique. La Chambre d’accusation d’Anvers en a récemment décidé et cela a été confirmé à notre rédaction. Mais quelle est la certitude de la justice que l’homme attendra patiemment chez lui son procès d’assises, au cours duquel il risque la perpétuité ?



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