Le nouveau système d’options de regret devrait rendre les criminels plus lâches : le dossier autour de De Bende van Nijvel en profite également

Après Veljkovic et Panzeri, le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open Vld) veut faire parler davantage de criminels en élargissant le régime de non-participation aux regrets. La loi actuelle est trop restrictive, ce qui fait que les dossiers avec regrets peuvent même ne pas comparaître devant la cour d’assises. « Nous faisons tout ce que nous pouvons pour intensifier encore la lutte contre le crime organisé et le terrorisme », promet Van Quickenborne.


Sibren Dejaegher












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