Le cabinet souhaite maintenir la société ouverte le plus longtemps possible en cas de nouvelle résurgence du virus corona. À cette fin, une soi-disant préparation de base pour la vaccination, la surveillance, les tests et le traçage sera établie, a écrit lundi le ministre Ernst Kuipers dans une lettre à la Chambre des représentants.

Les écoles et les garderies en particulier doivent rester ouvertes le plus longtemps possible. Si des mesures sont néanmoins nécessaires, la fermeture de l’éducation physique est « au bas de la pile ».

La fermeture ne sera envisagée que si les élèves, les étudiants et le personnel des écoles et des établissements d’enseignement sont « en danger immédiat », écrit Kuipers.

Le gouvernement souligne que la société elle-même a également une grande responsabilité. Garder la société ouverte « est une responsabilité de nous tous », selon le ministre.

On ne sait pas si le corona pass reviendra avec la renaissance du virus

Ce à quoi cela ressemble pour les entreprises n’est pas encore tout à fait clair. Les contrôles de santé, les itinéraires de marche, les écrans contre la toux et les éclaboussures et la règle de distance sont réalisables pour de nombreux secteurs.

Mais ce qu’il adviendra de la carte d’accès corona (ctb), par exemple, est encore inconnu. « Le cabinet continuera à en discuter avec les secteurs et enquêtera sur la base juridique de la CTB », écrit Kuipers.

Les plans des secteurs sont à la base de toute nouvelle mesure, mais si le virus corona éclate si violemment et qu’il y a un scénario noir, « d’autres mesures peuvent être inévitables ».

En tout cas, ces mesures n’ont pour l’instant aucune base légale puisque la loi corona temporaire a été votée au Sénat le mois dernier. Les travaux sont toujours en cours, a précisé le ministre.

Intensifier la vaccination et les tests

Une partie de la préparation de base est que le GGD peut rapidement intensifier les tests et la vaccination. Cela commence par 300 000 coups par semaine et doit ensuite être augmenté à 500 000 par semaine en trois semaines. Après six semaines, cela devrait représenter 1,5 million de vaccinations par semaine.

La capacité de test actuelle ne sera augmentée que dans une mesure limitée si nécessaire. Depuis avril, il n’est plus nécessaire d’obtenir un résultat officiel après un autotest positif.

Une mise à l’échelle à grande échelle n’est nécessaire que si une variante du virus est difficile à découvrir avec des autotests et que la pression sur les soins de santé et les hôpitaux augmente néanmoins. Les GGD peuvent évoluer jusqu’à 15 000 tests par jour en deux semaines, passant à 100 000 par jour après cinq semaines.

La vaccination et les tests dépendent tous du degré de visibilité du virus. Cette tâche incombe toujours au RIVM. À cette fin, une surveillance des eaux usées est en cours dans 300 sites et une surveillance des germes est nécessaire pour montrer comment le virus se développe.

Enfin, Kuipers juge « plausible » que nous devions faire face à une résurgence du virus dans un « futur proche ».



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