Le nouveau ministre Zangrillo s’ouvre à un travail plus intelligent dans l’AP : voici les conditions


Travailler intelligemment dans l’administration publique peut fonctionner, cela fonctionne, mais à condition de passer de la logique de contrôle à celle de vérification du résultat. Dans une intervention sur Radio24, le nouveau ministre de l’Administration publique, Paolo Zangrillo a exposé quelle sera la ligne/philosophie du nouvel exécutif de Meloni envers l’un des aspects du travail public (mais pas seulement) qui, notamment grâce à la pandémie sanitaire de Covid 19, d’autres sont sortis ces dernières années.

Dans l’ensemble, Zangrillo a déclaré sauver tout le travail effectué par son prédécesseur Renato Brunetta dans l’administration publique – dont il était compagnon de parti dans Forza Italia, jusqu’au départ de Brunetta après la chute du gouvernement Draghi – car il va dans le sens de la droite de la modernisation. , la numérisation et la simplification mais – a ajouté Zangrillo – s’ouvre à une plus grande utilisation du travail intelligent là où il est toutefois possible de vérifier les résultats du travail agile.

Pas de retour en arrière sur le travail agile

Le pas dans cette direction est désormais franchi. Le retour en arrière n’est plus possible. « Penser que nous pouvons renoncer à cet outil – a expliqué le nouveau ministre – – reviendrait à confirmer que l’administration publique est différente des autres organisations ». Mais pour souligner les criticités du travail agile dans l’administration, c’est la même commission technique mise en place par le ministre Brunetta selon laquelle il y avait une « absence généralisée d’initiatives d’information et de formation pour former le personnel à cette nouvelle façon de faire le travail ». au-delà du simple changement de lieu de travail ».

Surveiller l’impact sur la productivité et la qualité des services aux citoyens

Selon les directives du ministère, ce sont les administrations individuelles qui identifient les activités pouvant être réalisées en travail agile, après comparaison avec les syndicats. L’objectif selon les lignes directrices est d’avoir une discipline « qui favorise la productivité et l’orientation vers les résultats et concilie les besoins des travailleurs avec les besoins organisationnels des administrations publiques ». Il y a une satisfaction généralisée de la part des travailleurs concernés, écrit la Commission, grâce à l’amélioration de l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, mais l’impact sur la productivité et surtout sur les services fournis et sur la réponse de l’utilisateur. « Même dans les quelques institutions publiques qui ont effectué une forme de contrôle, un effet positif en termes de productivité – a expliqué le ministre – a été signalé dans un pourcentage que nous ne pouvons pas considérer comme satisfaisant, égal à seulement 44,8% des cas ».

Passer d’une logique de contrôle à une logique de vérification des résultats

Zangrillo a souligné la nécessité de vérifier les résultats sur les services aux citoyens dans le travail à distance. « J’ai l’intention de continuer – dit-il – en essayant de comprendre comment nous pouvons utiliser cet outil. Il est évident qu’il s’agit d’une manière différente de gérer la relation entre l’employeur et l’employé. On passe d’une logique de contrôle à une logique de vérification des résultats. Cela demande de la maturité. Si le syndicat revendique la possibilité d’avoir du travail intelligent, il doit être conscient que le travail intelligent peut se faire sous certaines conditions ».



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