A l’heure où il y a des licenciements à la VRT et où l’on demande au diffuseur de travailler très parcimonieusement, mieux vaut ne pas dépenser de ressources supplémentaires sur les faces écrans. C’est ce qu’a déclaré jeudi le ministre flamand des médias Benjamin Dalle (CD&V) dans ‘De Morgen’ sur Radio 1. Plus tôt, il est apparu que six visages de la VRT avaient un contrat d’exclusivité de plus de 300 000 euros par an.
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