En premier lieu, il s’agit de dix projets de transformation d’envergure dans des noyaux urbanisés, donc pavés. Une transformation spatiale structurelle y sera mise en œuvre dans les années à venir pour le veinage vert-bleu, l’adaptation au climat, l’adoucissement et l’infiltration des eaux. Tous les projets consistent en des gains rapides et des ajustements plus importants qui prennent un peu plus de temps. La ministre met sur la table un levier de près de 10 millions d’euros pour permettre des investissements de 33 millions d’euros, rapporte son cabinet.
En plus de ces investissements, dix zones ont été sélectionnées comme ‘Local Area Deal Drought’ via l’administration. Des processus spatiaux flamands y sont en cours, mais les ressources de Demir doivent les rendre plus et structurellement résistants au climat.
Parce que la sécheresse est souvent la première à toucher les agriculteurs, des investissements supplémentaires ciblés sont également lancés dans les zones agricoles. Par l’intermédiaire de l’Agence foncière flamande, Demir alloue un total de 1,3 million d’euros pour soutenir les investissements Eau-Terre-Rive dans huit zones en Flandre.