Le ministère public poursuit les poursuites contre l’avocate pénaliste Inez Weski


Le ministère public poursuivra l’avocat pénaliste Inez Weski pour participation à une organisation criminelle et transmission d’informations vers et depuis le haut criminel Ridouan Taghi. L’officier en chef adjoint Janneke de Smet l’a annoncé mardi soir. Heure des nouvelles. Dans le procès Marengo, Taghi a été condamné mardi à la réclusion à perpétuité.

En 2022, le ministère public a eu accès à un service de messagerie crypté souvent utilisé par les criminels, ce qui aurait éveillé les soupçons de Weski. Elle a été arrêtée en avril 2023. On ne sait pas quelles sont les preuves dont dispose le ministère de la Justice contre l’avocat pénaliste. En juin, Weski a été libéré de sa détention provisoire, mais a été suspendu.

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L'<strong>avocate Inez Weski</strong> a été arrêtée vendredi parce qu’elle était soupçonnée d’avoir transmis des informations dans l’affaire Taghi. » class= »dmt-article-suggestion__image » src= »https://images.nrc.nl/qCUUNosdzsJ-lbCK55Cjeh9dRzs=/160×96/smart/filters:no_upscale()/s3/static.nrc.nl/bvhw/files/2023/06/data99731707-552e95.jpg »/></p><p>Selon De Smet, le ministère public était prêt à porter l’affaire devant les tribunaux l’année dernière, mais la défense de Weski a entraîné des retards.  Le ministère public aurait violé le droit de non-divulgation l’année dernière en confisquant des documents confidentiels de Weski, ce que le ministère public nie.  On ne sait toujours pas quand le cas de Weski sera entendu.</p><p><dmt-util-bar article=




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