Le ministère public ne fait pas appel dans l’affaire concernant la fusillade de Maria à Campislaan

Le ministère public (OM) ne fera pas appel dans l’affaire concernant la fusillade survenue sur la Maria in Campislaan à Assen. Mardi, le juge a statué qu’il y avait eu défense d’urgence et n’a donc pas condamné les deux tireurs.

Le ministère public avait requis une peine de 6 ans de prison contre un homme de 28 ans originaire d’Assen. L’autre tireur, un jeune homme de 22 ans originaire d’Assen, devrait passer quatre ans et demi derrière les barreaux. Selon le tribunal, il a été établi que les deux hommes ont tiré sur un homme de 24 ans, mais qu’ils l’ont fait pour se défendre.

La dispute a commencé plus tôt dans la journée, lorsque l’homme de 28 ans a été frappé dans sa voiture par la dernière victime. Le conducteur, son frère et quelques amis ont décidé de rendre visite à l’homme pour régler les dégâts. Lors de ce deuxième affrontement, la victime a couru vers le groupe avec une épée. Les deux tireurs ont donc tiré. Le joueur de 28 ans a tiré dans le bas du corps, celui de 22 ans a tiré en l’air.

« Bien que le ministère public ne soit pas d’accord avec le verdict, il s’agit d’une question d’appréciation des preuves », a déclaré le ministère public. « Le tribunal a motivé la valeur de telle preuve et quelles pourraient être les conséquences juridiques. Le ministère public ne trouve pas cette motivation incompréhensible. »

Au cours du jugement, le juge a déclaré qu’il n’était pas clair ce qui s’était exactement passé. Personne n’a montré le dos de sa langue. Par exemple, des déclarations variables ou contradictoires ont été faites et les déclarations ont également été continuellement ajustées. De plus, la victime n’a rien voulu dire.

La tentative d’homicide involontaire n’a donc pas pu être prouvée. Il y a eu des agressions graves et des menaces d’agression grave, mais pour des raisons de légitime défense, les deux hommes n’ont pas été punis. Le juge a désapprouvé le comportement des deux hommes.

Les deux hommes n’ont pas pu être reconnus coupables de possession interdite d’armes, car ce soupçon ne figurait pas dans les accusations. Selon un porte-parole du ministère public, les armes utilisées n’ont pas été retrouvées. Le ministère public ne sait donc pas quel type et quel calibre d’arme a été utilisé pour tirer. Les deux hommes ne pouvaient donc pas être poursuivis pour cela.



ttn-fr-41